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1936, le Front populaire, un 14 Juillet ouvrier *** Le Front Populaire prouve qu’il ne faut jamais désespérer
1936, le Front populaire, un 14 Juillet ouvrier
Le Front Populaire prouve qu’il ne faut jamais désespérer
La célébration associe la dimension nationale à la dimension sociale. Si, comme c’est la tradition, un défilé militaire descend les Champs-Élysées, les manifestations investissent les grands lieux parisiens du monde ouvrier, en souvenir également du serment de constitution du Front populaire prononcé un an plus tôt jour pour jour. La victoire du Front populaire au printemps s’est accompagnée d’un vif mouvement social avec des grèves et occupations d’usines. Les accords Matignon, les premières mesures de lutte contre la misère, le chômage, les formes d’aboutissement ainsi que des revendications sociales et culturelles nourrissent chez les ouvriers le sentiment d’une prise en compte de leurs attentes. Aussi, en cette journée de fête nationale traditionnellement conçue comme celle de la Concorde nationale, les ouvriers défilent dans les rues des grandes villes, célébration d’une victoire. Les quartiers est de Paris sont investis par une foule estimée à un million de personnes, comme le rappelle Danielle Tartakowsky, et les festivités durent trois jours avec, pour la première fois, un 14 Juillet qui prend les allures d’une « manifestation de rue ». La tradition révolutionnaire refait surface en cette journée anniversaire.
A la fin de la seconde guerre mondiale...
Ce fut l'appel du Conseil National
de la Résistance
Aujourd'hui en 2018 défendons l'héritage inestimable qu'ils nous ont transmis
« La France « déterminée » à faire revenir les harkis en Algérie *** C’est pas gagné !!!Massacre à Gaza, rage et colère. Descendons dans la rue ! »
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Commentaires
Ton article Michel évoque deux souvenirs. L'un, ancien date de 1959. A la rentrée scolaire j'avais pris mon premier poste d'instituteur à Bédarieux. J'ai appris que le frère d'un élève que j'avais en classe venait d'être tué en Algérie. J'ai réalisé aussi que je l'avais connu à Cessenon où il avait habité avant que sa famille déménage à Bédarieux. J'avais participé à une réunion des JC qio s'était tenue à Béziers les jours qui ont suivi. Un minibus avait été affrété et je me souviens de "La jeune garde" qui avait été chantée au cours du trajet. On peut lire cette histoire sur mon blog, lien http://cessenon.centerblog.net/2602715-De-quelques-souvenirs-de-Bedarieux
Le second de ces souvenirs est plus récent. Il doit dater de 2005. On inaugurait à Béziers le collège Lucie Aubrac. La Résistante à laquelle on rendait hommage était présente. Diminuée par l'âge, elle était encore en vie et elle avait fait état de l'engagement des l'appel des gens de sa génération autour des valeurs du CNR.
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