• Ce soir, sur FR3, à 23 h un documentaire de Georges-Marc Benamou et Jean-Charles Deniau « Oran, le massacre oublié » Attention ce documentaire est partial

     

     

     

    Non m. vétillard c’est la deuxième fois que ce documentaire (partial) passe sur FR3. Il a été projeté il y a deux ans jour pour jour le 5 septembre 2019. Et en plus il est visible sur youtube dans son intégralité et sur mon blog, à la fin. Donc vous nous apprenez rien...

    Michel dandelot

     

    Projection le 5 septembre 2021. FR3 : film "Oran, le massacre oublié" 

    À l'occasion de la prochaine projection du film "Oran, le massacre oublié "de Georges Marc Benhamou sur Fr3 le 5 septembre à 23h ! 

    Merci à Jean-Luc Chouillou et  Roger Vétillard 

    Ce qui s’est passé le 5 juillet 1962 est un nettoyage ethnique. C’est le début d’une grande démission de l’Occident face à un des obscurantismes totalitaires l’islamisme qui fait suite au nazisme et au communisme.  

    La responsabilité de l’Etat Français a été de laisser faire en connaissance de causes et de conséquences.  

    Ce film s'inscrit dans le chapitre " Histoire de France" et ne saurait échapper à la connaissance de chaque citoyen. 

    Message de l'historien Roger Vétillard :  

    Chers Amis, 

    La bonne nouvelle est enfin arrivée: le film de Benamou/ Deniau auquel Jean Monneret a participé comme conseiller sera diffusé le 5 septembre à 23 heures sur FR3. Le sujet en est Le massacre oublié du 5 juillet 1962 à Oran. 

    Ceci est une première brèche dans le mur du silence organisé autour de cette tragédie. Il y en aura d'autres si nous agissons comme il convient. Certains le trouveront insuffisant et se répandront en malédictions contre ceux qui n'auront pas, à leurs yeux, dit les choses comme il le souhaitaient. D'autres nous traiteront de  nostalgiques, de colonialistes et de tous les épithètes malsonnantes qu'ils attribuent à ceux qui ne partagent pas leurs vues. 

    Évitons les attitudes simplistes: ce film est le premier pas d'une longue marche. Tel qu'il est,   il va déranger beaucoup de bien-pensants parmi les amis du FLN,  essayons d'avancer dans la voie de la vérité historique  et même de la justice, si elle peut encore s'exercer après tant d'années de censure, de mépris et de Raison d’État. 

    Ce film doit être vu, connu et défendu. Plus on en parlera, plus nous pourrons faire avancer la connaissance de ce qui fut notre drame. 

    Amitiés. Roger Vétillard 

    Si vous transmettez ce mail, pensez à effacer mon adresse et à utiliser la fonction cci ou "copie cachée invisible". Merci 

     

     

    Mon article 5 septembre 2019 :

    Ce soir, sur FR3, à 23 h

    Un documentaire

     de Georges-Marc Benamou

     et Jean-Charles Deniau

    « Oran, le massacre oublié »

    Ce documentaire n'est pas suffisamment impartial, déjà dans la présentation il est écrit « La tragédie du 5 juillet à Oran est un événement tragique, du même ordre que le massacre du 17 octobre 1961 à Paris. » dire cela est déjà partial car ces deux tragédies sont incomparables… L’une se situe dans la période coloniale qui a duré 132 ans, l’autre se situe après la signature des accords d’Evian en vigueur le 19 mars 1962. Mais surtout sans l’OAS cette organisation terroriste et criminelle, responsable de 2700 victimes en Algérie et en France  la tragédie du 5 juillet 1962 n’aurait sans doute jamais existé... et cela n'est pas précisé dans ce documentaire...

    Michel Dandelot 

     

    Ce soir, sur FR3, à 23 h  Un documentaire   de Georges-Marc Benamou   et Jean-Charles Deniau  « Oran, le massacre oublié »  Attention ce documentaire est très partial

     

    Le résumé de ce documentaire

    Oran, le 5 juillet 1962. Alors que les Algériens en liesse célèbrent l'Indépendance, la fête tourne au drame. 700 habitants, européens ou musulmans ayant choisi la France, sont massacrés en quelques heures. La chasse à l'homme, déclenchée mystérieusement, dure une journée, sous le regard passif de l'armée française, bouclée dans les casernes sur ordre du président De Gaulle.

    Georges-Marc Benamou et Jean-Charles Deniau apportent des révélations nouvelles dans ce documentaire sur ce «massacre oublié» d'Oran, véritable trou noir dans l'histoire de la guerre d'Algérie.

    La tragédie du 5 juillet à Oran est un événement tragique, du même ordre que le massacre du 17 octobre 1961 à Paris. 

     

    Ce soir, sur FR3, à 23 h  Un documentaire   de Georges-Marc Benamou   et Jean-Charles Deniau  « Oran, le massacre oublié »  Attention ce documentaire est très partial

    A Oran 

    Ils occultent l'OAS 

     

    Par Anne Guérin-Castell 

     

    Le 5 juillet à Oran… Tous ceux qui avancent cette date avec la litanie des morts et disparus de ce jour-là oublient de dire la politique de terreur sanglante que menait depuis des mois l'OAS toute puissante dans cette ville, les descentes nocturnes et armées dans les quartiers habités par des Algériens, les snipers pieds-noirs qui depuis le haut de plusieurs immeubles tiraient sur toute personne tentant de sortir ou de rentrer dans le quartier Mdina J'dida (appelé «quartier nègre » !) , la bombe placée dans le même quartier qui a tué de nombreuses personnes et, alors que tout le monde accourait pour porter secours aux victimes, l'explosion d'une seconde bombe  avec un intervalle de temps calculé pour faire un carnage, l'intimidation ciblée des quelques «Européens» favorables à l'indépendance de l'Algérie, les pressions exercées sur les autres pour qu'ils se joignent aux expéditions meurtrières.
    Oran, fief des plus extrémistes et obtus membres de l'OAS, tel celui qui, des années après, déclarait fièrement qu'il n'avait tué personne de sa main mais qu'il en avait fait tuer beaucoup, Oran était devenue une ville de sang bien avant ce funeste 5 juillet, la mort avait été semée dans ses rues par ceux qui aujourd'hui s'accrochent à une histoire falsifiée qu'ils ont transmise à leurs descendants et qui, après la reconnaissance de la responsabilité de l'État dans la mort de Maurice Audin se lamentent pitoyablement : «Et nous, et nous ?»
    Est-ce trop leur demander que d'avoir au moins la pudeur de ravaler leurs larmes et le courage de regarder en face le mal auquel ils ont participé, ne serait-ce que par leur silence, ou qui a été fait en leur nom, au prétexte de les protéger ?
    Ah, disent-ils aujourd'hui, comme on les aimait, les arabes (ça leur arracherait les tripes de dire les Algériens), comme on était proches ! Ah, que je l'aimais, ma fatma, c'est elle qui m'a élevée (sans se rendre compte de ce que peut avoir de choquant l'utilisation de ce nom «fatma» donné indifféremment à toute femme algérienne) !
    Ce n'est pas l'État français qui est responsable de ce qui s'est passé le 5 juillet à Oran, c'est l'OAS et tous ceux qui ont soutenu ces assassins, implicitement ou explicitement, c'est-à-dire ceux-là mêmes qui aujourd'hui se lamentent.
      

    Anne Guérin-Castel

    Ce soir, sur FR3, à 23 h  Un documentaire   de Georges-Marc Benamou   et Jean-Charles Deniau  « Oran, le massacre oublié »  Attention ce documentaire est très partial

     

    Rediffusion sur FR 3

    Un article de Jacques CROS

    SOURCE : http://cessenon.centerblog.net/ 

     

    Ce soir, sur FR3, à 23 h  un documentaire   de Georges-Marc Benamou  et Jean-Charles Deniau  « Oran, le massacre oublié »  Attention ce documentaire est partial

    Nous avons reçu un courriel qui annonce la rediffusion ce dimanche 5 septembre sur FR 3 du film documentaire « Oran, le massacre oublié ». Il est présenté par l’historien Roger Vétillard.

    Ce qui s’est passé à Oran le 5 juillet 1962 est effectivement dramatique. Il y a eu plusieurs centaines de morts parmi la population européenne. Le chiffre de 700 a été avancé et cette journée est la plus meurtrière de la guerre d’Algérie.

    J’ai eu visionné ce film, il est documenté. Il y manque toutefois ce qui a précédé le drame et y a conduit. L’impasse est faite sur les 132 ans du colonialisme qu’ont enduré les Algériens. Est évacué du contexte ce qui s’est passé à Oran après le cessez-le-feu du 19 mars 1962.

    A Oran comme à Alger rue d’Isly il y a un refus des Accords d’Evian signés par la France le 18 mars. Cela se traduit par une violence exacerbée de gens qui répondent aux directives de l’OAS pour tenter de perpétuer le colonialisme.

    Ayant transité par cette ville les 21 et 22 avril 1962 je peux témoigner. Elle était à feu et à sang. On n’a pas pu embarquer dans le port, on a dû aller à Mers-el-Kébir. C’était un chaos indescriptible. Mais qui sème le vent récolte la tempête.

    Il y a certainement eu un climat d’exaspération qui a conduit au massacre du 5 juillet. On n’a pas de précision sur l’enchaînement des événements  On peut déplorer le drame on ne peut pas occulter ce qui l’a rendu possible.

    Et là Roger Vétillard choisit de ne pas aborder cet aspect, pourtant fondamental, du problème. Il rêve d’une intervention de l’armée française comme elle avait l’habitude de le faire à l’époque du colonialisme. Oui mais une page de l’histoire a été tournée et l’expérience enseigne que la domination militaire ne règle rien.

    Ah, un point que nous ne connaissions pas dans l’analyse, notre historien voit dans la tragédie d’Oran une filiation avec le terrorisme islamiste que nous connaissons aujourd’hui ! Oui, c’est nouveau, ça vient de sortir ! Sauf que ça n’a aucun rapport mais notre spécialiste fait flèche de tout bois !

    C’est vrai qu’avec un peu de bonne volonté on pourrait en 2021 être encore en guerre avec l’Algérie et même continuer pendant des siècles et des siècles !

    Jacques Cros 

     

    Ce soir, sur FR3, à 23 h  un documentaire   de Georges-Marc Benamou  et Jean-Charles Deniau  « Oran, le massacre oublié »  Attention ce documentaire est partial

     


     

    « Fabrice Riceputi : « Le 17 octobre 61 reste un clou rouillé dans la voûte plantaire de la République »Rencontre avec Daniel Kupferstein qui, avec ses trois films « les balles du 14 juillet », «17 octobre 1961. Dissimulation d'un massacre », et « Mourir à Charonne, pourquoi ? » »

  • Commentaires

    7
    JF PAYA
    Mercredi 19 Octobre 2022 à 17:34

    BONJOUR POUR INFORMATION CORDIALEMENT

    https://www.youtube.com/watch?v=L9IEFDkBpyI journaliste jean-louis Tremblais du figaro magazine

    émission ligne droite radio du 6 juillet 2022 où il évoque remarquablement les massacres du 5 juillet 62 à Oran sans analyser les buts les causes profondes et les concéquences

    Le Président Macron qui a quelques sources vient enfin d'exhorter à reconnaître et « regarder en face » le massacre du 5 juillet 1962 » à Oran, qui toucha « des centaines d’Européens, essentiellement des Français ».60 ans après si cet événement “hors guerre” fut signalé par des ouvrages d'abord minimisé mais jamais explicité clairement

    EN ARCHIVE AU CDHA Groupe de recherches Oran 5 Juillet 1962 PAYA_JEAN-FRANCOIS_Massacre du 5 juillet 1962.pdf CLIK SEUL ECRIVANT ACTEUR ET TEMOIN PRESENT SUR LE TERRAIN A ORAN ET AFFECTE A LA BASE DE MEL KEBIR JUSQU'A FIN 1964 POURSUIVANT ENQUETES ET DEVELOPPEMENTS LIVRE EN PDF SUR LES MASSACRES D’ORAN DU 5 JUILLET 1962 par un Groupe de recherches Oran 5 Juillet 1962 direction JF PAYA /AC Algérie classe 54/2 https://histoirecoloniale.net/le-5-juillet-1962-a-Oran-par-Jean.html Seul article (de 1998 ) sur ce site en "caution démocratique"(et encore épinglé) parmi une vingtaine écrits après 2002 favorables au FLN  

     

      • Mercredi 19 Octobre 2022 à 19:18

        Dans la vidéo il y a une occultation importante le fait que l'OAS s'est livrée après le 19 mars 1962 à une multitude d'horreurs avec ce qu'elle a appelé "la politique de la terre brûlée" attisant la haine qui était à son comble le 5 juillet 1962. 

    6
    Gavoury J-F
    Samedi 4 Septembre 2021 à 10:37

    Le nom de l’un des responsables de ce film suffisait à lui seul à en deviner l’orientation partisane. Quel que soit son partenaire dans ses productions dédiées à la guerre d’Algérie, François Margolin ou, en l’occurrence, Jean-Charles Deniau, le sulfureux Georges-Marc Benamou s’emploie à manipuler les témoignages pour servir non pas l’histoire, non pas la mémoire, mais SA communication : celle-ci se confond avec celle des anciens de l’OAS, à la réhabilitation desquels il aura participé aussi sûrement que François Mitterrand en son temps.

    5
    Samedi 4 Septembre 2021 à 08:32
    Cros Jacques

    Qui sème le vent récolte la tempête !
    A Oran comme rue d'Isly on voulait perpétuer via l'OAS les 132 ans du colonialisme enduré par les Algériens. Et on ne craignait pas de remettre en cause les Accords d'Evian signés le 18 mars 1962.
    On ne peut pas isoler le drame du 5 juillet de ce qui l'a précédé et y a conduit.
    Quant à une filiation entre cet événement douloureux et le terrorisme islamiste, c'est nouveau, ça vient de sortir !

    4
    Samedi 7 Septembre 2019 à 23:37

    Le film est assez habile pour se servir de faits dramatiques pour masquer la responsabilité de ceux qui refusaient l'indépendance qui conditionnait la paix et permettre que l'idéologie du colonialisme sous-jacente occupe le terrain. L'armée n'est pas intervenue ? Elle aurait peut-être dû reprendre les opérations miliaires comme si les Accords d'Evian n'avaient pas été signés le 18 mars ? C'est sans doute ce que voulaient certains  jusqu'au-boutistes de l'OAS comme c'était déjà le cas lors de l'affaire de la rue d'Isly le 26 mars !

    3
    Samedi 7 Septembre 2019 à 18:33

    Il n’est que de voir la liste des personnes - physiques ou/et (a)morales - auxquelles la production adresse ses remerciements pour se faire une idée de l’objectivité de ce soi-disant documentaire : Agnès Rampal, Suzy Simon-Nicaise, Geneviève de Ternant, Mairie de Nice, Cercles algérianistes de Nice et Perpignan, L’Écho de l’Oranie !
    On devine par ailleurs les coupes auxquelles a donné lieu l’interview de M. Jean-Pierre Elkabach.
    Que penser, en outre, du contenu des commentaires en voix off ?
    Exemples :
    1°) « Aux exécutions et enlèvements de plus en plus nombreux du FLN, répondent les attentats de l’OAS » : ainsi impute-t-on au FLN le déclenchement du cycle provocation-répression et exonère-t-on l’OAS de sa responsabilité dans le drame des événements du 5 juillet 1962 à Oran !
    2°) « Le 19 mars 1962, les Accords d’Évian entre le gouvernement français et le GPRA sont signés » : et dire que certains historiens, avant M. Benhamou, indiquaient le 18 !
    3°) « La peste tombe sur Oran la radieuse, comme Albert Camus en avait eu le pressentiment », référence ô combien opportuniste au célèbre prix Nobel de littérature !

    2
    Jeudi 5 Septembre 2019 à 10:54

    J'ai visionné le documentaire. Je crois qu'on ne peut pas nier la dimension apocalyptique du drame qui s'est déroulé à Oran le 5 juillet 1962. Mais il est nécessaire de replacer ce qui s'est passé ce jour-là dans le contexte de ce qu'a été le colonialisme, la guerre, avec ses exactions, engagée pour le perpétuer, le comportement de l'OAS après la signature des Accords d'Evian. C'était un refus de l'indépendance de l'Algérie dans laquelle on s'était engagé. On peut alors comprendre la violence qui s'est manifestée dans des actes insensés et horribles. De même le blocage des décisions de la France a dû crisper ceux qui avaient la responsabilité de leur application. La barbarie a pu se développer sur un tel terreau.

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