• Christophe Barbier : Le Coronavirus éditorial

     

    Christophe Barbier :  Le Coronavirus éditorial

    J’y reviens parce que les propos de ce jeune «morveux» me sont restés à travers de la gorge, j’insiste : Barbier pends toi avec ton écharpe rouge, écharpe que tu ne mérites pas, car le rouge est la couleur de la révolution et de la protestation, elle est la couleur qui gronde contre le pouvoir, c’est aussi la couleur de l’amour… Le rouge enfin est la couleur du sang et donc de la vie… Mais c’est la mort que tu souhaites pour les vieux, toi tu as l’amour du fric que tu as si peur de perdre… Pends toi plutôt avec une écharpe noire, la couleur de la finance sur nos payes ou nos pensions... 

    Christophe Barbier :

    Le Coronavirus éditorial

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    Quel est le problème de l'éditorialiste Christophe Barbier avec nos ainés ? Est-il mandaté pour casser du vieux à longueur d'éditos ? A-t-il été victime d'une tournante d'une bande de vieillards cacochymes dans son enfance ?

     

     

     

    Ami, entends-tu le vol noir de la finance sur nos paies, Ami, entends-tu la souffrance populaire sans pareil,

    Christophe Barbier :  Le Coronavirus éditorial

     

    Ohé, villageois, citadines et banlieusards c'est l'alarme,

    Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. Sortez des usines, des bureaux et des cuisines, gilets jaunes,

    Sortez les palettes, braseros, les barricades, gilets jaunes, Ohé, travailleurs, les chômeuses, les étudiantes, venez vite,

    Ohé les sans dents, les fainéants, les illettrées, tout de suite.

    C' est nous qui trimons jour et nuit pour une paie de misère. Les taxes qui nous pressent, les très riches qui s’engraissent, la galère,

    Il y a des villas ou les riches au creux des lits font des rêves,

    Ici gilets jaunes, nous on craque et nous on sue, nous on crève.

    Ici on s'entraide, on se relaie sur les routes, on s'écoute, On se sent moins seules dans la lutte, tous unis, coûte que coûte.

    Ce soir L’Élysée tombera : des assemblées à la place, Chantons compagnons, le système tombera : plus de classes.

    Amis entends-tu les oiseaux des jours heureux qui se lèvent ? Amis entends-tu les murmures d'amour que l'on sème ? 

     

     

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