• Marcel Yanelli nous signale la sortie d'un film « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et d'un documentaire « Métro Charonne »

     

     

    Il y a des courriels, des témoignages, des vidéos,

    des familles, des articles, plus remarquables que d'autres,

    celui-ci en fait partie, c'est la raison pour laquelle

    je vous le présente de nouveau.

    Michel Dandelot

    Marcel Yanelli nous signale la sortie d'un film « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et d'un documentaire « Métro Charonne »

    Regardez-moi dans mon lieu de travail où j'ai passé beaucoup d'heures chaque jour depuis 14 ans

     

    J’ai reçu de Marcel Yanelli un ami de Dijon

    ce courriel :

    Marcel Yanelli nous signale la sortie d'un film « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et d'un documentaire « Métro Charonne »

    Bonjour Michel

    Je viens de visionner le film que tu nous as fait découvrir… « Sommes-nous revenus d’Algérie » "Sommes-nous revenus d'Algérie" Les Appelés du contingent témoignent - micheldandelot1

    Merci de l’avoir fait découvrir à tes correspondants.

    Bravo à l’équipe qui a réalisé ce film ! Il a toute son utilité, il n’est en rien dépassé !

    Tu le sais, les 2 films réalisés par une équipe d’amis cinéastes ; l’un avec mon épouse (victime de la première vague du Covid) sur les 9 tués du métro Charonne en février 1962, l’autre, à partir de mes carnets écrits en Algérie en 1960-61 « Regards croisés » sont dans le même esprit que celui que je viens de voir… Penses-tu possible de les donner à voir également ?!

    J’oubliais : Marie-Louise Laforge Yanelli, mon épouse, fut stéphanoise avant de me rejoindre à Dijon en 1962 pour une vie commune de 59 ans. J’ai écouté, dans le film » Sommes-nous revenus d’Algérie… » avec émotion et tendresse ces appelés de Saint-Etienne, car j’ai retrouvé la même culture ouvrière de la famille de Marie-Louise, d’une belle richesse…

    Marcel Yanelli 

    Marcel Yanelli nous signale la sortie d'un film « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et d'un documentaire « Métro Charonne »

    Cher Marcel,

    Les films et documentaire sont visibles sur mon blog depuis le 1er novembre 2021.

    Michel Dandelot

     

    Marcel Yanelli nous signale la sortie

    d'un film et d'un documentaire

    Marcel Yanelli nous signale la sortie de deux films « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et « Métro Charonne »

    En ce 1er novembre 2021 je vous présente le film d’un ami de mon groupe Marcel Yanelli et le documentaire de son épouse décédée en 2020 auxquels j'ajoute un article que je lui avais consacré en 2016 comprenant une vidéo où mon ami Marcel présente son livre « J’ai mal à l’Algérie de mes 20 ans ».

    Le dernier film qui est sorti en 2020 s’inspire largement des carnets qu’il a remplis en Algérie, en 1960 et 1961, en pleine guerre. Il s’appelle « Regards croisés sur la guerre d’Algérie ». Il est visible ici.

    Le documentaire est un témoignage de Marie-Louise (son épouse décédée le 12 juin 2020) sur le drame de Charonne en février 1962. Il s’appelle « Métro Charonne ». Le lien est ici.

     

     

    Marcel Yanelli nous signale la sortie de deux films « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et « Métro Charonne »

    MARCEL YANELLI

    et je te présente mes condoléances émues pour le décès de ton épouse Marie-Louise victime du Covid 19 le 12 juin 2020.

    Michel Dandelot

     

    Marcel Yanelli nous signale la sortie de deux films « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et « Métro Charonne »

    SOUVENIRS DE 2016

    Des Côte-d’Oriens se souviennent 

     des dernières manifestations interdites

    pendant la guerre d’Algérie

     

    Des Côte-d’Oriens se souviennent   des dernières manifestations interdites  pendant la guerre d’Algérie

    Marie-Louise Yanelli a gardé les journaux de l'époque © Radio France - Jacky  

    Il y aura finalement bien une manifestation à Paris contre la loi travail ce jeudi 23 juin 2016. Si les autorités l’avaient interdite, la situation aurait été inédite depuis la guerre d’Algérie. Un couple de Côte-d’Oriens s’en souvient. 

    Les opposants à la loi travail vont défiler à Paris sur un parcours en boucle proposé par le ministre de l'Intérieur. Echaudées par les méfaits des casseurs, les autorités avaient menacé d'interdire le défilé. Cela aurait été une première pour une manifestation de syndicats, depuis le 8 février 1962. Ce jour-là, la gauche avait appelé à manifester à Paris au lendemain d'une vague d'attentats de l'OAS. La guerre d'Algérie touchait à sa fin. La manifestation avait été interdite, et le préfet de police Maurice Papon avait donné l'ordre à la police de charger. Une charge d'une violence inouïe et meurtrière pour une dizaine de manifestants acculés dans une bouche de métro. Entassés les uns sur les autres contre la grille fermée de la station de métro Charonne, ils avaient été matraqués par les policiers qui leur avaient également jeté dessus de lourdes grilles entourant le pied des arbres plantés aux abords de la station. Étouffées, écrasées, 8 personnes étaient mortes. Une neuvième avait plus tard succombé à ses blessures. Marie-Louise Yanelli s'en souvient. Elle vit aujourd'hui à Fontaine-les-Dijon. A l'époque elle avait 20 ans et travaillait aux chèques postaux dans la capitale. Cette militante communiste avait participé à la manifestation prohibée dans laquelle l'une de ses collègues, Anne-Claude Godeau, âgée de 24 ans, avait trouvé la mort. Par chance, elle-même se trouvait dans une autre branche de la manifestation, épargnée par les violences policières. Elle n’avait appris le drame que le soir venu. Marie-Louise a gardé les journaux de l’époque, et les tracts imprimés pour les obsèques de sa collègue. 

    En octobre 1957, à Dijon, des manifestants lutteurs 

    avaient fait voltiger des policiers 

    Son époux, Marcel, se souvient avoir participé à d'autres rassemblements interdits contre la guerre en Algérie. Et en particulier à Dijon le 17 octobre 1957. Âgé de 19 ans, avec des camarades de son club de lutte, il avait fait l'expérience qu'on ne plaisantait pas avec les gardes mobiles. Ces derniers avaient chargé au clairon, distribuant coups de matraque et de crosse. Marcel se souvient des coups qui résonnaient sur les corps. Les gardes mobiles en avaient reçu aussi, Marcel et ses copains lutteurs ne pouvant résister au plaisir de leur faire quelques prises. « Les policiers voltigeaient », se rappelle Marcel. Finalement maîtrisé et plaqué au sol, il s’était retrouvé menotté et jeté dans un camion. Mais il avait profité de l’inattention de ses gardiens pour sauter du véhicule, toujours menotté. Déjouant la vigilance des forces de l’ordre postées dans la ville, il avait pu s’échapper, et son entraîneur de lutte l’avait débarrassé de ses menottes avec des outils. Marcel Yanelli les a conservées en souvenir. Marcel et Marie-Louise Yanelli sont heureux que la manifestation de ce jeudi ne soit pas interdite. « On a bien payé, pour savoir qu’interdire ne règle pas le problème. Après le recours à l'article 49-3, cela aurait fait beaucoup... » Et Marie-Louise, émue quand elle se remémore la tragique manifestation interdite du 8 février 1962, ajoute que cela n’a pas entamé sa détermination. Au contraire. « Je suis toujours militante, et convaincue qu’il faut changer le monde », conclut-elle dans un rire. 

    Marcel Yanelli a rencontré les lecteurs

    à la librairie Carnot de Vichy en mai 2016

    Des Côte-d’Oriens se souviennent   des dernières manifestations interdites  pendant la guerre d’Algérie

    Marcel Yanelli et ses carnets écrits entre 1960 et 1961 - photo cléo chabrou 

    Marcel Yanelli était  à la librairie Carnot de Vichy pour une séance de dédicace consacrée à son dernier livre, « J’ai mal à l’Algérie de mes vingt ans » . 

    Le livre de Marcel Yanelli est la transcription fidèle de deux petits carnets. Un peu usés, mais parfaitement conservés. Une écriture fine remplie chaque ligne. Le récit de 14 mois passés en Algérie pendant la guerre, de 1960 à 1961.  

    « Ce sont en fait des agendas, précise l'auteur. Je voulais respecter les jours et quand la place manquait, je rajoutais des pages. Adolescent, j'écrivais déjà, lorsque j'avais le cœur gros. » 

    À cette époque, Marcel Yanelli était militant communiste. « J'étais contre cette guerre. J'ai toujours su que l'Algérie en sortirait libre. » Ces carnets sont restés dans le tiroir d'un bureau, pendant près de 60 ans. « Je ne savais pas quoi en faire, mais je souhaitais qu'ils servent à quelque chose. Et quand je regarde, aujourd'hui, la montée du Front National, je me rends compte que ces idées sont tenaces. » 

    Ce livre est tout autant un devoir de mémoire, que le récit authentique, écrit dans l'instant, d'une guerre que Marcel Yanelli, n'oubliera jamais.  

    Pratique. J'ai mal à l'Algérie de mes vingt ans, éditions L'Harmattan.   

    Guillaume Sauzer 

    SOURCE : http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/departement/allier/vichy/2016/05/08/marcel-yanelli-a-rencontre-les-lecteurs-a-la-librairie-carnot_11904390.html  

    Marcel Yanelli : « J’ai toujours mal à l’Algérie 

    de mes 20 ans » 

    Marcel Yanelli nous signale la sortie de deux films « Regards croisés sur la guerre d’Algérie » et « Métro Charonne »


     

    Cette notice est rédigée à partir d’entretiens avec Marcel Yanelli, sa famille et ses proches

    En cette fin d’année 2005, Marcel Yanelli a 67 ans. Il se décide à franchir le pas de la publication de ses carnets écrits en 1960 et 1961, durant les quatorze mois passés en Algérie, dans un commando de chasse : « Au vu et au su de tout le monde, j’écrivais sur des petits carnets, pendant les opérations ou après… Ces écrits, ainsi que les quelque 200 photos prises là-bas, sont restés longtemps dans un coin de mon bureau. Seuls, les plus proches de ma famille les avaient lus ». Vers la fin de l’année 1999, quelques pages paraissent dans un ouvrage édité par l’Amicale des vétérans du PCF intitulé La lutte des communistes de Côte d’Or contre les guerres coloniales, Indochine, Algérie, Vietnam. Des adaptations scéniques sont également produites. En 2002, il commence à « intégrer ses écrits dans son ordinateur ». « Ce ne fut pas aisé car mes notes étaient très serrées et fines et je dus avoir recours à une loupe… Pas aisé aussi car l’adulte que je suis devenu était parfois tenté de gommer ou de modifier les aspects naïfs, excessifs, ultra-sensibles ou trop intimes de mes écrits de l’époque. Ce que je me résolus à ne pas faire ». 

    À la question, « Pourquoi ces écrits sortent-ils seulement maintenant ? » Marcel Yanelli pense que les choses doivent venir en leur temps, celui du mûrissement par exemple… « Ou encore celui du sentiment aigu de la précarité du temps, surtout pour les gens de mon âge qui ont vécu cette période… Celui, également, du travail de mémoire, de réparation que la France n’a pas voulu effectuer ». 

     « Une vie riche de passions, d’engagement militant. Riche de certitudes aussi nombreuses que les doutes et remises en cause » 

    Fils d’immigré, né à épinac, en Saône-et-Loire, « car les émigrés italiens et polonais des années 1920-1930 étaient utilisés pour les métiers les plus durs et à épinac aussi il y avait des mines ». Il a sept frères et sœurs, les deux aînés sont nés en Italie. « Nous avons vécu dans la pauvreté, mais nous avons été élevés dans la dignité, dans le respect des autres, de leur différence ». 

    À l’âge de 15 ans, il est « éjecté » du circuit scolaire. Apprenti monteur en chauffage, il obtient un certificat d’aptitude professionnelle à 18 ans. « C’est par beaucoup d’efforts personnels que j’ai dû compenser mes manques de connaissances générales, et je sais que celles qui ne sont pas  

    « Je suis un passionné de la vie. J’étais contre cette guerre faite à tout un peuple » 

    D’autres ont préféré déserter. Pour lui, il n’en a pas été question : « Appelé en Algérie, je n’y suis pas allé pour faire la guerre mais pour gagner mes compatriotes à la conscience que cette guerre n’avait rien à voir avec les intérêts de la France. Le moment était venu pour moi, comme pour d’autres jeunes communistes ou chrétiens, non de refuser de partir, mais de me retrouver avec les gars du contingent - les appelés - pour faire mon travail de militant de la paix en Algérie. Cette dernière ne pouvait survenir que si les appelés aussi comprenaient les véritables enjeux de la pacification ». Et puis la stratégie du parti a changé. Il va parler, discuter sans relâche, dénoncer les manipulations. « Par exemple : opération en hélicoptère. Arrivée sur un camp de nomades, sur les hauts plateaux. Dans le fracas des hélices il fallait sauter sur le sol, des coups de feu partout. De quoi être effrayé : fouillez, détruisez tout ! La peur n’aidant pas à la sérénité, les gars s’exécutaient… Mais pour apprendre plus tard que les coups de feu en question venaient exclusivement des officiers et sous-officiers… Oui mais le mal était fait et, pour ne pas avouer sa peur, il fallait justifier les destructions comme un mal nécessaire ». 

     « Je souhaite que mon témoignage écrit à vif, en situation, il y a quelque 44-45 ans, contribue à ce que le voile se lève sur cette guerre ». 

    La torture. Il cite Hervé Bourges : « Le crime commis dans un camp n’excuse pas le crime commis dans l’autre camp. Mais le crime commis dans mon camp, moi, j’en suis responsable ». Les traumatismes causés par cette guerre sont gravés dans la mémoire, et le temps ne soigne pas les traumatismes : « Ce sont les mots qui soignent et seulement les mots ! Faire ce travail n’est pas réveiller de vieilles culpabilités… C’est, au contraire, leur régler leur compte, c’est permettre de “faire la paix”, individuellement et au niveau de la société elle-même. C’est permettre à ceux de ma génération qui sont encore en vie de transmettre leur histoire à leurs enfants, de ne plus porter des fautes et des crimes qu’ils n’ont pas à porter ». 

    L’intégralité des « carnets d’Algérie de Marcel Yanelli », accompagnés de nombreuses photos et commentaires, peut être lue sur : <http://perso.wanadoo.fr/​marcel.yanelli>. 

     

    "J’ai mal à l’Algérie de mes vingt ans", nouveau livre témoignage sur une guerre perdue d’avance 

     

    "J’ai mal à l’Algérie de mes vingt ans", nouveau livre témoignage sur une guerre perdue d’avance

     

     

    PARIS - Un nouvel ouvrage sur la guerre de libération, édité par l’Harmattan, vient s’ajouter aux nombreux témoignages d’appelés du contingent français réprouvant le combat contre un peuple qui luttait pour son indépendance. 

    "J’ai mal à l’Algérie de mes vingt ans. Carnets d’un appelé, 1960-1961" (253 pages) est la compilation des notes, des impressions écrites au jour le jour pendant 14 mois par un jeune homme de 22 ans, Marcel Yanelli, "tourmenté" par la guerre qui était à son épilogue avec les négociations entre le Gouvernement Provisoire de la République algérienne (GPRA) et le gouvernement français. 

    L’auteur place ses témoignages dans le cadre du travail de mémoire de cette guerre "que l’on a longtemps appelée hypocritement ‘opérations de maintien de l’ordre’". 

    "Je pense que les choses doivent venir en leur temps, celui du mûrissement par exemple... Ou encore celui du sentiment aigu de la précarité du temps, surtout pour les gens de mon âge qui ont vécu cette période... Celui, également, du travail de mémoire, d’histoire de réparation que la France n’a pas voulu effectuer...", explique-t-il. 

    Car, pour lui, il est impossible, du côté des Français, d’oublier ses soldats "morts pour rien en Algérie". 

    "Pour rien, car cette guerre était perdue d’avance, car on ne peut rien faire quand tout un peuple est debout ! Comment ignorer ces centaines de milliers d’Algériens et Algériennes morts pour que leur pays devienne indépendant", s’est-il demandé. 

    Loin de constituer un lot de révélations sur le déroulement de cette "sale guerre", l’ouvrage de Marcel Yanelli tente de montrer qu’en parallèle à cette guerre, une autre guerre secrète était menée par les militants de la paix envoyés à dessein combattre en Algérie. 

    "Je n'y suis pas allé pour faire la guerre mais pour gagner mes compatriotes à la conscience que cette guerre n'avait rien à voir avec les intérêts de la France", explique-t-il, ajoutant que "le moment était venu pour moi, comme pour d'autres jeunes communistes ou chrétiens, non de refuser de partir, mais de me retrouver avec les gars du contingent (les appelés) pour faire mon travail de militant de la paix en Algérie". 

    Affecté en opérationnel (dans un commando de chasse), Marcel Yanelli, né en 1938 dans une famille de 8 enfants, de parents émigrés italiens, ne reste pas cependant coupé de ce qui se passe autour de cette guerre. En suivant le procès des membres du "réseau Jeanson" et prenant connaissance de l’appel des 121, il écrit que "ces deux choses soulignent le drame d’un peuple tiraillé par le devoir, par l’esprit de justice. Le caractère de cette guerre est mis à jour". 

    Ce qui le met dans un questionnement existentialiste: "Les milieux littéraires agissent. N’est-ce pas le moment pour accentuer notre mouvement? Et moi ? Que faire ? Rester ici ?" 

    Il relate les atrocités et les crimes des soldats (les viols, la torture et les vols), qu’il dénigre mais ne peut rien faire. "J’exprime ma rancœur, mon indignation. Ils ne me comprennent pas, justifient la torture (…)", relève-t-il. 

    Marcel Yanelli revient dans son ouvrage sur la loi de 2005 qui soulignait "le rôle positif de la présence française dans les colonies". 

    "Et double honte ou colère quand une majorité de députés de l’Assemblée nationale ose voter en 2005, une loi insistant sur (le rôle positif de la présence française dans les colonies), une loi qui impose un mensonge officiel sur des crimes, sur des massacres allant parfois jusqu’au génocide, sur l’esclavage, sur le racisme hérité de ce passé", s’indigne-t-il. 

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Ponsot Danièle
    Samedi 27 Janvier à 09:19

    Votre espace de travail, cher Michel, est bien mieux rangé que le mien!!!happy Ceci dit, merci de ce témoignage que vous nous rapportez et merci pour les infos !

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