• Histoire coloniale et postcoloniale *** Hommage au fondateur de ce site : François NADIRAS

     

    Histoire coloniale et postcoloniale 

    Hommage au fondateur de ce site

    François Nadiras

    Histoire coloniale et postcoloniale *** Hommage au fondateur de ce site : François NADIRAS

     

    Dans le cadre de « L’encyclopédie de la colonisation française » publiée par l’éditeur Les Indes savantes et dont les deux premiers volumes sont parus en 2017 et 2018, le directeur de l’ouvrage, Alain Ruscio, avait sollicité François Nadiras, pour qu’il rédige un article sur Toulon et la colonisation. Il avait envoyé un texte qu’Alain Ruscio a proposé à notre site de publier, en hommage à son auteur décédé le 28 août 2017. Il paraîtra dans un prochain volume de cette encyclopédie. Nous y ajoutons l’intervention prononcée, le 1er septembre 2017, au nom de la Ligue des droits de l’homme, par Gilles Manceron, lors des obsèques de François Nadiras, à Cuers.

    François Nadiras, Toulonnais, infatigable animateur du site LDH-Toulon, riche en particulier d’études sur la question coloniale, est décédé le 28 août 2017, sans avoir eu le temps de connaître la publication de cette notice. Toute notre équipe salue sa mémoire. Le Site LDH-Toulon a depuis été repris par ses amis sous le titre Histoire coloniale et post-coloniale. 

    L’idée coloniale, une tradition ancienne

     et profonde à Toulon

    Par François Nadiras

    Nous apprenons le décès de François Nadiras, fondateur du site LDH-Toulon

    Place de la Liberté à Toulon
    (photo "La Marseillaise")

    Lire l’article en cliquant sur ce lien :

     http://histoirecoloniale.net/Toulon-epicentre-et-bastion-de-l-idee-coloniale-par-Francois-Nadiras.html

    Voici l’un des nombreux articles que j’avais consacrés à François Nadiras celui-ci était daté du 29 août 2017 :

     

     

    J'apprends le décès de François Nadiras, fondateur du site LDH-Toulon. C'est lui qui m'avait incité à écrire "La bataille d'Einaudi", tout particulièrement le chapitre qui rend justice à Brigitte Lainé et Philippe Grand, les deux archivistes persécutés pour avoir osé dire dans un prétoire que les archives prouvaient un massacre le 17 octobre 1961. Il avait été la cheville ouvrière du combat pour qu'ils soient rétablis dans leurs droits et de bien d'autres batailles. Il était un subtil et infatigable guetteur.
    Il est mort dimanche 27 août 2017 à l'hôpital de Toulon. C'est affreux. Adieu François.

    Fabrice Riceputi

     

    " Quelle triste nouvelle que nous apprend Fabrice Riceputi, il y a un peu plus d'1 mois le 18 juillet dernier j'avais mis en ligne un article concernant François Nadiras, Jean-François Gavoury avait tenu à envoyer un commentaire auquel notre cher disparu avait répondu ce fut donc, pour nous, ses dernières paroles. Merci François pour tout ce que tu nous as apporté, nous ne t'oublierons pas".  

    Michel Dandelot 

    Nous apprenons le décès de François Nadiras, fondateur du site LDH-Toulon

    François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre. 


     François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre.


    Ce site était à l’origine celui de la section locale de la Ligue des droits de l’homme de Toulon. Il avait comme rédacteur en chef, un membre de la section : François Nadiras. Depuis 2010 j’y ai puisé de nombreuses informations concernant la guerre d’Algérie, en particulier et le colonialisme, en général, avec l’accord, bien sûr de François Nadiras qui est devenu un ami talentueux et important, mais au début de cette année, une mise au point m’intrigua, d’autant plus qu’un autre ami m’informa de la santé fragile de François Nadiras…C’est donc avec un grand plaisir que j’ai trouvé sur le quotidien « La Marseillaise » un remarquable article intitulé  « François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre ». 

     

    François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre.

     

    Cette Mise au point du 19 février 2017 était un signe alarmant   

    Le site LDH Toulon est en cours de modification. 

    Compte tenu de différents paramètres il est apparu nécessaire de le "couper en deux" : 

    1. la partie la plus développée regroupe tout ce qui dans l’ancien site concernait l’Histoire, plus particulièrement les colonisations et les racismes ; 

    ces articles sont actuellement dans un certain désordre, mais la réorganisation est en cours 

    pour y accéder : www.ldh-toulon.net  

    2. tous les autres articles de l’ancien site qui n’ont pas subi le regroupement précédent se trouvent maintenant à l’adresse www.section-ldh-toulon.net 

    François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre.

     

    François Nadiras : « On ne pouvait pas  

    rester les bras ballants face 

     au Front national » 

    François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre.

    « Le temps passant, j’ai pensé que ce serait intéressant que le site Internet ne meure pas avec moi. J’ai donc lancé un appel qui vient dernièrement de rencontrer un écho favorable. »  

    François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre. 

    Pas une cause, pas un combat au service de la défense des droits de l’Homme, des sans-droits, contre les discriminations, le racisme... dans lequel on l’ait vu faire défection. Par sa présence, sa plume et son témoignage, il est depuis de longues décennies un personnage central dans la vie démocratique et citoyenne du département du Var. Alors, même si l’intéressé, de par sa pudeur et sa discrétion, répugne quelque peu à se mettre avant, nous l’avons convaincu de livrer une part de son parcours d’homme, de militant et de dire au travers de son engagement ses espoirs et ses craintes concernant les années à venir. 

    François Nadiras est né en 1941 en région parisienne. Et lorsque la République décide d’enrôler sa jeunesse dans une guerre qui ne dit pas son nom pour réprimer la lutte pour l’indépendance des Algériens, le jeune homme est en train de terminer ses études de mathématiques dans la capitale. « J’ai vécu pendant cette période dans l’angoisse d’être appelé », explique-t-il. Des « événements », comme on continuera longtemps à les appeler, qui vont forger chez lui la conviction que l’on peut, que l’on doit refuser l’injustice et rechercher la vérité. 

    Le concours en poche, le professeur de maths, qui est passé au travers de cette conscription qu’il redoutait tant, est nommé comme coopérant à Pointe-à-Pitre où il passera ainsi deux ans avant de rentrer en métropole. Nommé à Toulon en 1967, il effectue ensuite toute sa carrière au lycée Dumont d’Urville, enseignant aux élèves des classes préparatoires maths sup’ et maths spé’. 

    A Amnesty international pour commencer 

    C’est dans le Port du Levant aussi que se précise son engagement militant au service de la défense des droits humains, combat qu’il poursuit encore aujourd’hui malgré la fatigue et la maladie. 

    Il adhère donc avec son épouse Elisabeth, avec laquelle il partage les mêmes valeurs, à Amnesty international, pour commencer. 

    « Il y a une chose qui m’a toujours perturbé, c’est la prévalence, le développement des idées d’extrême droite, le racisme entretenu par un certain nombre de politiques. Et pas seulement, hélas, à l’extrême droite », précise François Nadiras. 

    Puis avec l’arrivée en 1995 du Front national à la tête de la municipalité toulonnaise, c’est le choc. Et le couple éprouve la nécessité d’agir d’urgence plus concrètement sur le terrain de la politique locale. 

    « On ne pouvait pas rester les bras ballants », explique-t-il. C’est comme ça qu’ils se retrouvent tous deux très vite pas mal impliqués au sein de la section toulonnaise de la Ligue des droits de l’homme. Qu’ils présideront tour à tour pendant de nombreuses années avant d’en redevenir de simples mais fervents militants. 

    « Lorsque mes responsabilités se sont terminées, je me suis dit qu’il manquait quelque chose à Toulon, qu’on ne parvenait toujours pas à dire la vérité sur bien des sujets, comme celui de la guerre d’Algérie », reprend François Nadiras. 

    Une ville dans laquelle il est encore difficile de dire que « l’Algérie était une colonie et que le combat d’émancipation mené par les Algériens est sur bien des points tout à fait comparable à celui des résistants français ». 

    Il veut rappeler ce pan de mémoire qui est ici à ce moment-là le plus souvent tu. Pour des raisons électoralistes, déjà, avec une importante communauté de rapatriés qu’il convient de ménager, pour certains. Et un silence aussi qui est censé faire oublier ce qui pourrait raviver des tensions, pour d’autres. 

    « Je me suis dit qu’on pouvait faire quelque chose pour lutter contre cette unanimisme... » Le militant de la LDH va donc mettre à profit ses connaissances en informatique pour réaliser le premier site Internet de la Ligue des droits de l’Homme de la section en 2001 : « Je voulais que soit dite une parole qui corresponde à la vérité. » Le coup d’essai est déjà une réussite mais ne correspond pas encore tout à fait aux attentes du défenseur des droits humains. 

    Il crée donc en 2004 une deuxième mouture plus aboutie. Un site qui atteint vite les 3 000 visites jour. Un succès qui s’opère au prix d’un travail colossal qu’il assume tout seul, en l’enrichissant de toujours plus de documents, d’articles, de témoignages. Si bien que la place commence à manquer et le webmaster à fatiguer. 

    « Le temps passant, j’ai pensé que ce serait intéressant que le site ne meure pas avec moi. J’ai donc lancé un appel qui vient dernièrement de rencontrer un écho favorable », lâche-t-il avec soulagement. 

    C’est l’historien Gilles Manceron qui vient en effet de relever le défi, mais en partie seulement. 

    L’idée est donc de scinder le site actuel en deux parties. Avec tout ce qui concerne l’histoire de la colonisation et le racisme qui est désormais abrité sur un nouveau portail Internet (ldh-toulon.net) et géré par un collectif d’historiens, le reste demeurant sur l’adresse historique : section-ldh-toulon.net. 

    « Rien n’est désespéré quand on voit des villages accueillir

    des migrants » 

    Lorsqu’on interroge le militant sur son sentiment concernant les années à venir, le propos se fait nettement moins enjoué. Un avenir plus sombre dans le lequel l’émotion continuerait à prendre plus de place que la raison, avec les conséquences que l’on voit déjà à l’œuvre. Il pointe également « cette hostilité qui se développe entre communautés ou plutôt entre personnes qui se considèrent plus comme appartenant à une communauté qu’à une nation ». 

    La montée du communautarisme donc, mais aussi celle du racisme avec une parole et des passages à l’acte plus qu’inquiétants. Il nous rappelle d’ailleurs l’histoire de ce Français d’origine sénégalaise éjecté d’un train en gare de Toulon. Pour mémoire, un travailleur social confronté à un contrôle de billet musclé qui se rebelle et réclame des explications. Mal lui en prend puisque les passagers se lieront en se basant sur des a priori pour l’expulser du wagon. « L’affaire est toujours en attente de jugement deux ans après », déplore-t-il. « En même temps, rien n’est jamais complètement désespéré quand on voit des villages qui accueillent des migrants », conclut François Nadiras. 

    Grave mais pas désespéré, en effet. Du moins tant que le monde associatif et militant comptera des vigies de sa trempe. Merci François. 

    Thierry Turpin 

    SOURCE : http://www.lamarseillaise.fr/var/societe/58868-francois-nadiras-on-ne-pouvait-pas-rester-les-bras-ballants-face-au-front-national

     

    François Nadiras, un homme, une vie, une œuvre et un engagement sans faille dans la défense des droits humains. Rencontre.

     


     

    Les commentaires

     

    Gavoury Jean-François 

         

     

    Bel hommage que celui rendu à François Nadiras par le journal "La Marseillaise".

    Félicitations à Michel Dandelot d'en avoir découvert la publication et relayé la teneur.

    Le site Internet de la section de Toulon de la Ligue des droits de l'Homme recèle des informations d'une richesse et d'une diversité incomparables.

    La rédaction des innombrables articles dont il est le support est aussi rigoureuse que devaient l'être les cours dispensés par ce professeur (agrégé) de mathématiques.

    Ma rencontre avec cet authentique personnage - accueillant, à l'écoute, d'une humilité et d'une modération désarmantes - remonte à 2005. Elle m'a marqué, et les victimes de l'OAS lui savent - et lui sauront longtemps - gré de les avoir accompagnées, y compris physiquement, dans leur combat pour la sortie de l'oubli.

    Je profite de ce commentaire pour lui dire toute mon estime et lui demander de me pardonner d'avoir adhéré tardivement à la Ligue des droits de l'Homme (2012) et de l'avoir fait à la section de Nice (pour des raisons circonstancielles qu'il connaît).

    Très cordialement,

    Jean-François Gavoury


     

                                                 

     François Nadiras 

         

     

    Je suis ému de ces hommages,

    prononcés par des amis militants

    qui ne sont pas restés non plus "les bras ballants".

    Je les associe à ces évocations.

    On continue !

    François Nadiras

     

    Revoyons et réécoutons François Nadiras grâce au Collectif national de résistance à Base élèves… contre tous les fichiers scolaires

    Par Josef, un ancien du CNRBE…

    Ce 28 août 2017, François, cet infatigable combattant des idées de l’extrême droite, est décédé.

    Me vient aussitôt l’image de cet homme discret, mais d’une pugnacité incroyable.
    Je le revois penché sur son ordinateur dans son petit espace de travail, à traquer sur Internet les injustices qui touchent aux Droits de l’Homme.
    Je l’entends encore au téléphone discuter des heures et des heures sur l’opportunité de tel mot dans tel texte. Il voulait être précis, ne pas laisser de place au doute, viser droit et être efficace.
    Ce qu’il a été tout au long de sa vie dans ses multiples combats : soutien à Einaudi mis en procès par Papon en 1999, combat contre la loi du 23 février 2005 qui enjoignait aux enseignants de montrer les « aspects positifs de la colonisation », mise en lumière d’associations comme celle des Anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre (basée à Millau, en Aveyron), soutien aux roms et aux gens de voyage, lutte contre tout racisme, et encore tout récemment le soutien aux migrants.

    Pour nous, parents et enseignants qui nous sommes battus contre le fichage, il fut un allié précieux, toujours discret, très impliqué dans les analyses, dans les veilles informatiques, dans les liens avec des structures nationales, et jouant le rôle d’un démultiplicateur de nos actions. Peu le savent, mais il est à l’origine de la création du Collectif National de Résistance à Base Elèves en 2008.

    On peut retrouver François évoquant cette lutte dans cette vidéo que vous arrêterez à la fin car d'autres vidéos suivent qui sont hors sujet : 

     

     

    « Baignade surveillée, par Pierre JoxeRencontre avec Olivier LE COUR GRANDMAISON »

  • Commentaires

    3
    Mercredi 30 Août 2017 à 10:36
    L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes souriantes, arbre, enfant et plein air
     
     
    François Nadiras était une personne précieuse pour la défense des droits humains. Nous nous étions rencontrés pour la première fois en mai 2002 sur la question de la Palestine alors qu'il présidait la section LDH de Toulon.
    Il nous a quittés lundi. Je garde en mémoire sa rigueur, sa force de travail et sa soif de justice faisant face à toutes les discriminations et aux amnésies de l'histoire coloniale.
    Je pense à Elisabeth, à leurs enfants, et à tous les copains de la LDH.
     
     
    2
    Mercredi 30 Août 2017 à 09:58


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    COMMUNIQUE

     François NADIRAS n’est plus

     

    Nous ne le verrons plus à nos réunions du comité régional qu’il ne manquait jamais quand la maladie le laissait en paix et où sa présence chaleureuse, avec Elisabeth son épouse, rassurait toujours car ils savaient tous les deux, militants aguerris, nous apporter une vraie lumière.

    Nous ne le verrons plus aux manifestations pour les droits de l’Homme, défendre les travailleurs, les étrangers, les migrants, les victimes et descendants de victimes de la colonisation et tous les réprouvés de notre société injuste.

    Nous ne le verrons plus apporter ses connaissances ou une juste contradiction lors de conférences, rencontres, colloques divers donnant une belle voix à la Ligue des droits de l’Homme.

    Non, nous ne verrons plus François NADIRAS et ne l’entendrons plus davantage car depuis hier soir ce grand militant nous a quitté. Certes il laisse derrière lui une grande trace lumineuse faite du souvenir de ses interventions, mais aussi de ses écrits divers, notamment le journal en ligne de sa section de Toulon, qu’il avait créé, que des universitaires, historiens, chercheurs ont reconnu et utilisent pour leurs travaux. Mais il est difficile de se résoudre à cette grande absence.

    Les militants de la Région PACA le pleurent déjà, mais aussi beaucoup de membres de la LDH qui ne l’oublieront pas.

    Notre tendre affection militante pour Elisabeth, notre souvenir respectueux pour leurs proches et les membres de leur famille et enfin notre souvenir et soutien fraternels aux militants et responsables de sa section auxquels il doit déjà cruellement manquer.

    Pour le Comité régional PACA

    Henri ROSSI

     

    1
    Mardi 29 Août 2017 à 14:34

    Je ne sais comment l'expliquer mais j'avais eu le sentiment ces derniers temps que notre ami François Nadiras était sur la fin de ses jours.
    Je sais qu'il était né en 1941, un an de moins que moi donc, et qu'il était atteint d'une maladie évolutive.
    Mon premier contact avec lui remonte a dans les années 2010. Je lui avais envoyé le récit de mes souvenirs de la guerre d'Algérie et il en avait publié sur le site qu'il animait plusieurs extraits.
    Nous avons eu quelques contacts, soit par Internet, soit pas téléphone. Le dernier en date est assez récent, il accusait réception de mon analyse de la situation en Algérie avec les séquelles de la décennie noire.
    Le 14 mars 2015, alors que je ramenais Jean-François Gavoury et Jean-Philippe Aoudia dans ma voiture après le contre-rassemblement que nous avions organisé contre le changement de nom de la rue du 19 mars 1962, il avait appelé Jean-François sur son téléphone portable pour lui donner son sentiment sur les informations qu'avait communiquées la radio sur les événements de Béziers. Il avait fait état du peu d'écho qu'avait eu la tentative de Ménard de faire scander par ses sbires le fameux slogan "Algérie française".
    François Nadiras était agrégé de mathématiques, ce qui ne manquait pas de m'impressionner.
    A tous ceux que ce deuil afflige je présente mes condoléances.

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