• Ils ne savaient pas que c’était une guerre ! (Algérie, 50 ans après…)

     

     

    Ils ne savaient pas que c’était une guerre !

    (Algérie, 50 ans après…)

    Ils ne savaient pas que c’était une guerre ! (Algérie, 50 ans après…)

    Entre 1954 et 1962, ils sont « appelés » au titre du service militaire obligatoire, pour intervenir dans un conflit qui porte, à cette période, le nom « d’événements d’Algérie». Formés aux techniques préparant à la guerre de 1939/45, par des cadres, qui pour la plupart reviennent d’Indochine, ils ne sont pas préparés militairement à ce conflit de guérillas, de ratissages et d’attentats. Une fois, sur place, ils vivent des situations très diverses. Certains sont chargés de taches logistiques ou administratives. D’autres, en revanche, « crapahutent » en pleine nature, vingt-huit ou trente-deux mois durant. Tous, à un moment ou à un autre, sont confrontés aux « horreurs de la guerre » : blessures ou décès de camarades, embuscades, devoir de tirer sur autrui pour se défendre, mais aussi… pour tuer, etc. Quelques-uns assistent même au pire : tortures, exécutions sommaires, voire assassinats dans le cadre des tristement célèbres «corvées de bois».

    Ils reviennent, marqués à vie par ce qu’ils ont vu et vécu, sans aucune attention spéciale des pouvoirs politiques de l’époque, qui ont longtemps nié le caractère guerrier de ce conflit. Depuis, beaucoup ont gardé le silence, même auprès de leurs proches.
    Ils parlent ici pour la première fois.

    Si vous souhaitez visualiser le documentaire complet cliquez sur le lien ci-dessous :

    https://www.tl7.fr/replay/magazines-docus_25/ils-ne-savaient-pas-que-c%E2%80%99etait-une-guerre-algerie-50-ans-apres%E2%80%A6_x7xz9j9.html 

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 11 Décembre 2020 à 08:29

    Situations très diverses que celles qu'ont connues les appelés du contingent. Pour tous un dénominateur commun, celui d'avoir perdu de longs mois de leur jeunesse dans cette guerre qui ne disait pas encore son nom. Et pour certains ils ont perdu plus que leur temps. Ceux-là ont perdu leur santé et quelquefois leur vie. Avant de disparaître, ce qui ne saurait tarder, il appartient aux anciens d'Algérie de faire le procès de nos dirigeants de l'époque qui ont des héritiers aujourd'hui.

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