• J’ai souvent lu cette phrase : « Les Français qui n’ont pas voulu de l’Algérie française auront un jour la France algérienne » *** Il se trouve que Raymond Aron avait un avis différent

     

     

    Eh ! hop ! une de moins…

    Renaud Camus, "théoricien" du Grand remplacement

     retire sa liste aux élections européennes 

    J’ai souvent lu cette phrase : « Les Français qui n’ont pas voulu de l’Algérie française auront un jour la France algérienne » *** Il se trouve que Raymond Aron avait un avis différent

    Renaud Camus, chantre de la thèse du Grand remplacement, a annoncé ce mercredi 22 mai qu'il retirait sa liste "La Ligne Claire" de la course aux élections européennes. Selon les premières informations, il s'agirait d'un problème lié à des déclarations récentes d'un de ses colistiers. 

     

    Mais le vrai

     Grand remplacement

     aurait été plutôt celui-ci : 

    J’ai souvent lu cette phrase : « Les Français qui n’ont pas voulu de l’Algérie française auront un jour la France algérienne » a écrit dans son livre, « d’une Résistance à l’autre », Georges Bidault, l’ancien chef du Conseil National de la Résistance. Il reprenait là, en quelque sorte, cette déclaration du redoutable chef du FLN qu’était Larbi ben M’Hidi, déclaration lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset ? Je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ». Il se trouve que raymond aron avait un avis different *** qui dit la verite ?

    J’ai souvent lu cette phrase : « Les Français qui n’ont pas voulu de l’Algérie française auront un jour la France algérienne » *** Il se trouve que Raymond Aron avait un avis différent

     

    Georges Bidault était aussi cela :

    En 1958, il vote l’investiture du gouvernement du général de Gaulle. Il se sépare du MRP et crée la Démocratie chrétienne de France qui n’aura qu’un succès électoral limité.

    Par la suite, il constate que le général de Gaulle s'oriente vers le retrait de la France en Algérie et se rallie aux extrémistes de l'OAS. Après le cessez-le-feu (18 mars), avec Jacques SoustelleAntoine Argoud et Pierre Sergent, il constitue le 20 mai 1962 à Rome, le comité exécutif du Conseil national de la Résistance, visant à défendre l’Algérie française. Bidault est désigné comme président de cet organisme.

    En juillet 1962 au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, son immunité parlementaire est levée en raison de ces activités subversives.

    Il quitte la France en 1963. Menant une vie clandestine, et apprenant l’enlèvement du colonel Antoine Argoud à Munich par des hommes des services spéciaux français, Bidault publie un article virulent et est expulsé d’Allemagne ; le Portugal l’expulse à son tour vers le Brésil, où il passera, avec son épouse, plus de quatre ans.

    Il revient en Belgique en 1967, et, à la suite de l'amnistie des anciens responsables de l'OAS (conséquence inattendue des événements de mai 1968) rentre en France en juin 1968. Il crée le Mouvement pour la justice et la liberté, qui soutient Alain Poher lors de l’élection présidentielle de 1969. 

    J’ai souvent lu cette phrase : « Les Français qui n’ont pas voulu de l’Algérie française auront un jour la France algérienne » *** Il se trouve que Raymond Aron avait un avis différent

     

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    Si l'Algérie était restée française aujourd'hui il y aurait 40 millions de Musulmans en plus.

    Si l'Algérie était restée française l'Assemblée nationale serait composée de 40 à 50% de Musulmans.

     

      

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