• La Gauche anti-Nouveau Front Populaire existe bien

     

    La Gauche anti-Nouveau Front

    Populaire existe bien

    La Gauche anti-Nouveau Front Populaire existe bien

    Hollande mange à tous les râteliers car il fait partie aussi du Nouveau Front Populaire !!!

    La Gauche anti-Nouveau Front Populaire existe bien et je me souviens, dans mon article précédent Robert Badinter  avait dit « C’est la division de la gauche qui a entraîné la présence de Le Pen au second tour de l’élection présidentielle »

    Je me souviens aussi que François Hollande avait dit «Mon véritable adversaire c’est le monde de la finance» La conclusion c’est que François Hollande n’a jamais pu se représenter à l’élection présidentielle suivante après avoir appliqué une politique de droite, très anti-sociale et était devenu ainsi très impopulaire.

    Alors si Marine Le Pen parvient un jour au pouvoir ce sera aussi de la responsabilité  de cette gauche là anti-Nouveau Front Populaire.

    C'est mon avis et j'ai encore le droit d'avoir un avis.

    Alors voyons les dernières nouvelles concernant la division principalement du Parti Socialiste.

    Michel Dandelot

    Carole Delga rassemble ses soutiens

    à gauche, la frange anti-Olivier Faure cherche à s’émanciper

     

    Carole Delga organise la quatrième édition des rencontres de la gauche. La présidente de la région Occitanie réunit la frange sociale-démocrate opposée à Olivier Faure, dont François Hollande, Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann en vue de préparer le renversement du Premier secrétaire du parti socialiste.© Sipa

    Ce samedi, Carole Delga organise la quatrième édition des rencontres de la gauche. La présidente de la région Occitanie réunit la frange sociale-démocrate opposée à Olivier Faure, dont François Hollande, Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann en vue de préparer le renversement du premier secrétaire du Parti socialiste.

    >> A LIRE AUSSI : «Je n'ai aucun regret, je l'assume complètement» : Olivier Faure répond aux critiques sur la stratégie du PS

    Il confirme également que le PS censurerait bien le nouveau gouvernement de Michel Barnier. 

     

    Objectif : couper les ponts

    avec La France insoumise

    Carole Delga et ses alliés veulent couper les ponts entre le Parti socialiste et Jean-Luc Mélenchon, mais Olivier Faure restera toujours fidèle à l'alliance du Nouveau Front populaire . Alors ses opposants espèrent le renverser en provoquant un congrès anticipé du PS grâce à la récente dissolution et aux législatives, comme l'explique Carole Delga. "Les statuts du Parti socialiste prévoient en effet un congrès dans les six mois des élections législatives. Bien sûr qu'il y aura un candidat ou une candidate", a-t-elle affirmé. 

    Plusieurs noms circulent pour mener la fronde contre Olivier Faure : François Hollande ou Raphaël Glucksmann pourraient être dans la course. Les deux hommes voient la conquête du Parti socialiste comme un tremplin à la présidentielle de 2027, avec la volonté de rassembler la gauche anti-Mélenchon derrière eux.

    SOURCE : Carole Delga rassemble ses soutiens à gauche, la frange anti-Olivier Faure cherche à s’émanciper (msn.com) 

    Arnaud Montebourg se positionne

    pour « un gouvernement d’union

    nationale, du RN à LFI »

     

    Arnaud Montebourg se positionne pour « un gouvernement d’union nationale, du RN à LFI »© ISA HARSIN/SIPA

    Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Économie sous François Hollande, était invité à la Cité des Débats, à Saint-Raphaël, samedi 28 septembre, pour une table ronde intitulée « S’engager par l’économie ». Il a notamment affirmé être pour un gouvernement d’union nationale, « du Rassemblement national à LFI ». Il explique qu’au vu de la situation actuelle du pays, il y a un besoin d’« apaisement et de réconciliation des Français » qui ne pourra être résolu que par « des solutions qui appartiennent à tout le monde ».

    « Je suis pour un gouvernement d’union nationale. [...] Je pense que c’est le moyen de créer les conditions d’une reprise de dialogue dans ce pays, car tout le monde à quelque chose à dire d’utile pour la nation », justifie celui qui est devenu entrepreneur. « Bien sûr qu’il y a des positions extrémistes, on l’avait remarqué », raille-t-il avant d’ajouter : « Mais moi, je suis pour qu’on reprenne le dialogue dans ce pays. »

    « Retrouver un dialogue contractuel

    avec des échanges de bons procédés »

    « Alors est-ce que ça peut se faire dans le cadre institutionnel actuel ? », s’interroge ensuite Arnaud Montebourg. « L’élection présidentielle, ce n’est pas le dialogue, c’est presque Miss France, on parle des gens, du conjoint, des enfants, des études, mais il n’y a pas de débat politique », tacle-t-il. « On a besoin de retrouver un dialogue. Et un dialogue contractuel, c’est-à-dire avec des échanges de bons procédés », insiste-t-il. « Ce n’est pas une position politiquement correcte, mais je m’en contrefiche », conclut enfin l’ancien ministre.

    A Bram, autour de Carole Delga, «la gauche du courage» tacle la «gauche d’estrade»

    «Raphaël, Valérie, François, Karim, rejoignez-moi pour montrer qu’on est une équipe !» lance Carole Delga à la fin de son discours. Le soleil commence à décliner sur le grand parc arboré de Bram, la petite ville de l’Aude entre Toulouse et Carcassonne où la présidente socialiste de la région Occitanie a rassemblé ce samedi un peu plus de 2000 personnes. Raphaël Glucksmann, François Hollande, Karim Bouamrane, Valérie Rabault, et tous les invités de l’édition 2024 de ces «rencontres de la gauche» qu’elle organise chaque année remontent sur scène alors que retentit la Marseillaise. Sauf Bernard Cazeneuve, déjà reparti. Cintré dans une veste de chasse rouge, l’ancien Premier ministre de François Hollande, qui est attendu dimanche auprès de François Bayrou a l’université de rentrée du Modem, a fait un passage remarqué cette année à Bram, alors qu’il n’était présent qu’en visioconférence en 2023.

    Pour Carole Delga, ces rencontres sonnent «le réveil de la gauche du courage, de la gauche du gouvernement». Elle déclare se méfier des «effets de manches sur estrade qui n’ont jamais transformé la vie des gens». Avant elle, Raphaël Glucksmann invitait déjà à abandonner «le léninisme d’estrade» en précisant que ce n’était pas l’apanage de La France insoumise. «Citer trois fois Rosa Luxembourg en jouant à plus à gauche que moi, tu meurs, ça peut marcher dans une AG mais pas dans la population», avertit le leader de Place publique. L’entretien croisé du député européen et de la présidente de région sur la scène a constitué le morceau de résistance de la journée, juste après l’incontournable cassoulet servi à plus de 2 300 convives sous des barnums. L’échange a même éclipsé l’intervention de François Hollande, venu assurer la promotion de son dernier livre. L’ancien président de la République dissertait de politique internationale et de l’importance des élections américaines sur l’avenir de l’Europe devant un public légèrement assoupi pendant la digestion quand l’ancienne tête de liste aux élections européennes a fait son apparition, suscitant un petit mouvement de foules. «Carole Delga prévoit tout, même les entrées et les sorties», a alors plaisanté François Hollande en interrompant son laïus pour accueillir l’invité vedette.

    François Hollande à Bram, le 28 septembre 2024.

    Sur scène, Carole Delga fait applaudir les 13 % réalisés par la tête de liste choisie par le PS pour les élections européennes. «Les électeurs ont repris l’espoir, nous sommes une majorité de gauche». Modeste, Raphaël Glucksmann rétorque qu’il ne s’agit pas seulement de «rééquilibrer la gauche», mais qu’il faut aussi «élargir son socle». Le leader de Place Publique ne craint pas de heurter son public en rapportant avoir croisé durant sa campagne «des électeurs qui ne peuvent plus saquer la gauche». Comment reconquérir cet électorat populaire qui s’est tourné vers le Rassemblement National ? La question, lancinante, a traversé tous les débats à Bram.

    Pour Raphaël Glucksmann, «on doit répondre aux questions que l’Europe ne traitait pas jusqu’à présent». Le logement et l’énergie sont à ses yeux les deux domaines prioritaires, tant ils impactent le pouvoir d’achat. Carole Delga réclame de son côté une réforme de la PAC pour que les aides servent non plus «le gigantisme agricole», mais les petits agriculteurs comme Jérôme Bayle. L’éleveur qui avait pris la tête de la contestation agricole l’hiver dernier en Haute-Garonne partageait la scène de l’un des ateliers de la matinée aux côtés de Karim Bouamrane, maire de Saint-Ouen. Raphaël Glucksmann approuve et dénonce «l’immense entourloupe de la captation de la colère agricole» par la droite et l’extrême droite européenne «qui défendent les industriels, pas les paysans».

    Carole Delga et Raphaël Glucksmann,, samedi 28 septembre 2024.

    La présidente de la région Occitanie veut s’adresser en priorité à la France rurale qui se sent «méprisée par les élites parce qu’elle aime les barbecues et la chasse», mais sans oublier la France des banlieues et les profs qui manquent plus cruellement encore dans les lycées du 93. Puis, Carole Delga improvise une grande envolée historique aux accents espagnols sur la République «que l’on a vu tomber de l’autre côté des Pyrénées». Avant de conclure, sur une touche d’optimisme : «la France ne croit plus à l’homme providentiel et les Français ont dit non à une héritière.» Pour Raphaël Glucksmann, s’il y a eu un vainqueur des dernières élections législatives, c’est «le Front Républicain du deuxième tour qui a montré que la République produisait encore des anticorps». Mais attention, prévient le député européen, «c’était un pistolet à un coup». 

     

     

    « Alors que Facebook me rappelle cet article de mon blog : L’ancien avocat et Garde des Sceaux, Robert Badinter est décédé dans la nuit du 8 au 9 février 2024 à l’âge de 95 ans.Le 17 octobre, souvenons-nous de Jean-Luc Einaudi, citoyen chercheur et héros moral »

  • Commentaires

    2
    Dimanche 29 Septembre à 09:00

    Dans la pétaudière dans laquelle nous pataugeons chacun y va de sa recette miracle. Je vous prie de m'excuser mais je n'en ai pas. Je continue mon bonhomme de chemin en essayant de comprendre quel est la meilleure façon de me rendre utile. Je ne prétends pas avoir trouvé la réponse à ce que je cherche mais je suis têtu et fidèle aussi à ce que j'ai été ma vie durant.

      • Dimanche 29 Septembre à 09:22

        A mon âge je n’ai plus la prétention de me rendre utile efficacement… mais j’ai le droit de dire que la gauche de Hollande je n’en veux pas. OKKK !!! 

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