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La Haute-Loire, source d'inspiration pour le romancier Albert Ducloz qui nous parle de deux de ses livres dont son témoignage sur la guerre d'Algérie
La Haute-Loire, source d'inspiration
pour le romancier Albert Ducloz
qui nous parle de deux de ses livres
dont son témoignage sur la guerre d'Algérie
Parmi les auteurs régionaux, Albert Ducloz connaît un joli succès depuis quelques années. Il vit en Haute-Loire, département dont il utilise les spécificités comme décor de ses romans. Le dernier vient de paraître et il a pour titre : "Le Chant d'Aurore".
© France 3 Auvergne Après une carrière de directeur d'établissement de soins, Albert Ducloz publie son dernier roman, "Le Chant d'Aurore"
La trame du livre est basée sur un fait réel. Lorsqu'il était soldat en 1962 à Alger, suite à une fusillade, Albert Ducloz recueille une petite fille qui vient de perdre sa mère et qui ne sait pas où est son père. Il la confie à des religieuses qui vont envoyer la petite, prénommée Aurore, dans une famille d'accueil à Prades, en Haute-Loire. Voilà le point de départ du roman au cours duquel l'enfant va chercher à savoir si son père est encore vivant.
Albert Ducloz est typiquement un romancier "de terroir". Dans la plupart de ses livres (il en est au 17e), l'environnement tient toujours une place très importante. Il a utilisé divers lieux de Haute-Loire : Chanteuges, Saugues, la Margeride ou Prades pour "Le Chant d'Aurore". C'est en partie ce qui guide son écriture. Depuis 5 ans, l'Auvergnat est éditée par De Borée et connaît un certain succès, y compris hors de la région. C'est un auteur prolifique puisqu'il a deux nouvelles intrigues en attente de publication.
Portrait du romancier auvergnat Albert Duclozxxx
Le témoignage d’Albert Ducloz
Albert Ducloz, ancien appelé du contingent, revient sur les raisons pour lesquelles il a décidé de témoigner ; il évoque également le cheminement complexe de sa mémoire.
L'originalité de son parcours réside dans la confrontation entre ses souvenirs personnels et ses lettres d'appelés envoyées à ses parents entre 1960 et 1962 et qu'il redécouvre 40 ans après.
« INCROYABLE ! IMPENSABLE ! MAIS VRAI ! IL A OSE LE DIRE : Emmanuel Macron évoque des effets positifs de la colonisation de l’Algérie ? rejoignant par ses paroles François Fillon... «Je meurs la tête droite et avec le sourire»: ce qu'écrivaient les fusillés de la Seconde Guerre mondiale avant leur exécution »
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