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Le délire continue *** Un article de Jacques CROS *** MISE A JOUR : Et maintenant Robert veut se débarassser d'Emmanuelle !
On m’a souvent fait cette réflexion « Tu n’aimes pas le maire de Béziers Robert Ménard » alors ma réponse a toujours été la même « Non seulement je ne l’aime pas mais je le haïs et, contrairement à d’autres il aura ma haine »… Sur mon blog c’est au moins une vingtaine d’articles qui concernent ce provocateur fascisant et après l’article de Jacques Cros je vous rappellerai ce que je haïs le plus…
Le délire continue
Un article de Jacques CROS
SOURCE : http://cessenon.centerblog.net/6572375-le-delire-continue
Les frais de communication – on devrait d’ailleurs lui préférer le terme de propagande – et de procédure judiciaire, à charge des contribuables, sont à Béziers faramineux. Par ailleurs le maire de la ville n’hésite pas à fouler au pied des valeurs qui sont celles des progressistes dans ses opérations publicitaires.
Ainsi la question de l’égalité des sexes a été récemment et à deux occasions bafouée sur des affiches municipales ou sur le journal de Béziers. La première fois pour dénoncer l’étranglement des communes par la diminution des subventions de l’Etat. Oui, nous sommes d’accord pour que soit exprimé notre désaccord sur cette diminution. Non, nous n’approuvons pas l’utilisation d’une femme martyrisée par son compagnon comme illustration.
La deuxième fois on est dans le même registre. Pour demander que la Ligne à Grande Vitesse desserve Béziers on a mis sur l’image une femme ligotée sur la voie ferrée avec en arrière-plan une locomotive à vapeur qui arrive sur la future victime. Un texte court accompagne le dessin « Avec le TGV elle aurait moins souffert ».
Oui, nous sommes en plein délire, rien n’arrête l’imagination des concepteurs des illustrations au service de Ménard. En tout cas pas le respect de la dignité humaine et surtout pas celle des femmes. Elle est mise à contribution pour promouvoir une campagne qui n’a pas pour objectif de résoudre les problèmes mais de les utiliser afin sans doute de répondre à une ambition politique.
Dans l’affaire on n’oublie pas de mettre en avant les idées les plus rétrogrades qui soient, en l’occurrence dans les cas cités le refus d’accorder aux femmes la place qui leur revient dans notre société.
Reconnaissons à Ménard une certaine cohérence, celle d’une idéologie qui n’a rien à voir avec la démocratie et l’émancipation du peuple !
Les commentaires des internautes
Michel Dandelot le 12/12/2017
QUE CEUX QUI LE POURRONT AILLENT CRACHER SUR LA TOMBE DE CE FASCISTE !
Ignoble", "atroce", "nausée". Voici la teneur des réactions sur les réseaux sociaux après la diffusion d'une campagne de publicité à Béziers, par Ménard. Sur ces images polémiques, on peut voir une femme, ligotée à des rails, Son buste, ses mains et ses pieds sont attachées par une corde. Elle est en train d'hurler, à l'approche d'une locomotive. Le slogan écrit en lettres capitales et en noir, en haut de l'affiche, est glaçant : "Avec le TGV, elle aurait moins souffert !". Au bas de l'affiche, les phrases "mobilisons-nous !" et "#TGVOccitanieOui". Une autre affiche a aussi été publiée. On y voit une femme en train d'accoucher avec le message "TGV Occitanie, alors t'accouches ?". Ménard tu es une pourriture à jeter dans la poubelle de l'Histoire !!!Gavoury le 12/12/2017
L’affiche sur laquelle s’appuie la campagne de Ménard en faveur du TGV fait polémique.
Rien de bien surprenant dans cette nouvelle initiative qui s’inscrit dans la stratégie de communication de la Ville de Béziers.
Inspirée à la fois d’un film de Claude Chabrol ("L’Enfer", 1994) et d’un fait réel survenu à Beauvilliers (Eure-et-Loir) le 12 juin dernier, la mise en situation de faiblesse d’une femme choque légitimement.
À titre personnel, j’aurais trouvé moins critiquable et, de surcroît, plus signifiant de substituer à l’image de cette femme celle de Roger Degueldre, ce chef des commandos Delta de l’OAS révéré par Robert Ménard, exécuté le 6 juillet 1962 après sa condamnation à mort consécutive à sa participation, en 1961, à l’assassinat, notamment, du commissaire central d’Alger, Roger Gavoury.
Jean-François Gavourypréférons cette affiche qui est mieux
et les Biterrois souffriraient moins…
Robert Ménard accusé de faire référence
à un terrible meurtre avec son affiche
pro-TGV
En juin, une femme avait été attachée à des rails de chemin de fer avant d'être tuée au passage d'un train.
AFP
Robert Ménard accusé de faire référence à ce terrible meurtre avec son affiche pro-TGV
BÉZIERS - "Ignoble", "odieuse". La nouvelle campagne d'affichage du maire de Béziers (Hérault) Robert Ménard, lancée ce lundi 11 décembre, fait parler d'elle. Pour réclamer l'arrivée du TGV dans sa ville, ce proche du Front national a mis en scène un squelette qui "attend toujours" le TGV, Lénine sur une chaise avec une référence au "Wagon plombé", ou encore un sage-femme qui porte une locomotive dans ses bras, entre les jambes écartées d'une femme, accompagné de la légende: "Alors t'accouches?"
Mais c'est une autre affiche qui a provoqué la colère de l'ancienne ministre du droit des femmes Laurence Rossignol, mais aussi de l'actuelle Secrétaire d'État à l'égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa. On y voit une jeune femme, attachée sur les voies et un train qui progresse, se dirigeant droit sur victime, en arrière plan.
D'après Laurence Rossignol, aujourd'hui sénatrice de l'Oise, le visuel fait référence à un fait divers glaçant datant de juin. Dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 juin, deux personnes sont percutées par un TGV Paris-Nantes à hauteur de Beauvilliers, dans l'Eure-et-Loir. Le train s'arrête 3 kilomètres après la collision et les pompiers interviennent.
Ils découvrent les cadavres d'un homme et d'une femme: Guillaume, 37 ans, et son épouse Emilie, 34 ans. Si le corps de l'homme montre les signes d'une percussion, celui de la jeune femme, lui, est découpé en morceaux. Les pompiers comprennent donc que le train est passé sur son corps.
"La jeune femme a été attachée au niveau des jambes avec du ruban adhésif, explique une source proche de l'enquête, citée par Le Parisien. Ses poignets portaient également des marques laissées par des entraves. C'est le geste terrible d'un homme qui a sombré dans une longue dépression", souligne la source.
Une enquête est ouverte pour "homicide volontaire", d'après La République du centre, les enquêteurs soupçonnant l'homme d'avoir tué sa femme et de s'être suicidé.
Un couple en instance de séparation
Le couple, marié depuis environ deux ans, était en instance de séparation, d'après Le Parisien. "Il semble que la jeune femme avait l'intention de le quitter, précise une autre source au journal. Son mari ne l'aurait pas supporté". Selon les enquêteurs, il souffrait d'une dépression depuis qu'il avait perdu son emploi il y a trois ans.
Guillaume et Emilie étaient les parents de quatre enfants: trois nés de précédentes unions et un bébé de 15 mois. L'homme avait appelé les grands-parents des enfants en pleine nuit pour les leur confier, avant de se rendre en voiture à proximité des voies, avec sa compagne. Les policiers tentaient en juin de savoir comment il était parvenu à allonger sa femme sur les voies et si elle avait été droguée.
Quelques-uns seulement de mes textes… mais il y en a d’autres sur mon blog… mais il y en a trop, hélas… je vous en ai sélectionné cependant un parmi les principaux
http://www.micheldandelot1.com/robert-menard-moi-francaise-et-algerienne-j-ai-honte-a119568616
http://www.micheldandelot1.com/monsieur-robert-menard-vous-meprisez-la-france-a118695176
C'était le 14 mars 2015 à Béziers : une ménarderie. En 2017, le 19 mars, Ménard fera à nouveau mettre les drapeaux en berne... Il ne sera pas le seul maire à réagir ainsi... Et le pire est, peut-être à venir ? « Des manifestations sont attendues » pour la commémoration du 19 mars 1962 qui se tiendra à Paris, a indiqué le secrétaire d'Etat aux anciens combattants M. Todeschini. Si la droite ou l'extrême droite parviennent au Pouvoir après l'élection présidentielle... il faudra peut-être s'attendre au pire quant au maintien de la loi du 6 décembre 2012 ?...
Béziers : une ménarderie !!!Le 14 mars 2015 restera une triste date à Béziers et pour l’histoire Franco-Algérienne : une ignominie
par Henri POUILLOTRobert Ménard, Maire de Béziers élu avec le soutien du Front National, au milieu des anciens parachutistes arborant leurs bérets et insignes, commettait, en ce 14 mars 2015, une quadruple infamie :
Le petit homme à la mèche évocatrice qui prétend nous faire revenir 50 ans en arrière
*** Le 15 mars 1962, l’OAS (Organisation Armée Secrète) assassinait 6 inspecteurs de l’Éducation Nationale chargés du suivi des centres sociaux en Algérie.
*** Débaptiser la rue du 19 mars 1962, date de l’application du cessez le feu mettant fin à la Guerre d’Algérie est une provocation inacceptable. Le prétexte ? Après le 19 mars, il y eu encore des combats, des morts. Certes, de nombreux innocents en furent les victimes. Mais l’OAS porte LA terrible responsabilité d’avoir voulu pratiquer la politique de la terre brûlée afin de tenter de remettre en cause ce cessez-le-feu. A Alger lors de la manifestation du 26 mars (une semaine après cette signature) des commandos de cette organisation terroriste, criminelle faisait feu sur les militaires provoquant ainsi une riposte inévitable sur les manifestants. A Oran, pour le 5 juillet l’OAS avait décidé, en multipliant depuis plusieurs jours de tenter d’empêcher que les Algériens puissent fêter leur indépendance, multipliant jusqu’au dernier moment les provocations. Il ne faut pas s’étonner en suite que, lorsque les unités du FLN rentrant dans la ville, ne répondent brutalement aux provocations, faisant ainsi des centaines de victimes.
*** Donner à cette rue le nom du "Commandant Hélie Denoix de Saint Marc, Héros national" est une autre infamie. Certes cet officier fut résistant, interné dans un camp nazi pendant la Seconde Guerre Mondiale. Mais pendant la Guerre de Libération de l’Algérie, à la tête du 1er REP (Régiment Étranger de Parachutistes) il s’est distingué en pratiquant massivement la torture, comme l’ont fait les nazis, et ensuite il participa au putsch du 21 avril 1961 pour tenter de renverser la République. Certes il a été réhabilité, amnistié.. Mais le jugement que l’on peut porter sur une personne, c’est bien à partir de son action, en fonction de son évolution, de son comportement, de ses combats. Considérer que ce personnage est un "Héros Français" est donc une imposture notoire.
*** Déclarer : "L’Algérie, c’était notre paradis à nous" c’est d’une part faire une apologie indécente du colonialisme, d’autre part une insulte au peuple Algérien. Comment oser tenir de tels propos ?Vraiment, une telle démarche
est une ignominie sans nom
Heureusement que le Premier ministre, au dernier moment, a quand même contesté cette initiative. Il vaut mieux tard que jamais. Le Préfet de l’Hérault, le ministre des Anciens Combattants avaient été saisi depuis des semaines, le Gouvernement aurait pu agir au lieu de laisser faire.
Henri POUILLOT
Face au maire fasciste de Béziers, de l’irresponsabilité au sursaut républicain
Communiqué de l' ANPROMEVOPublié le : 12 avril, 2015
Face au maire fasciste de Béziers, de l’irresponsabilité au sursaut républicain
La puissance publique se définit comme un ensemble de moyens mis à la disposition de l’État pour assurer la sûreté de son territoire, la sécurité de ses citoyens ainsi que l'application des lois et règlements.
Le 5 décembre dernier, en ouverture de la cérémonie officielle d’hommage aux Morts pour la France de la guerre d’Algérie, le maire de Béziers, Robert Ménard, avait, dans une allocution dont la violence sembla déconcerter le sous-préfet présent, annoncé qu’il débaptiserait la rue du 19 mars 1962 pour lui donner le nom du commandant Hélie Denoix de Saint Marc. Le 11 décembre, il faisait voter une délibération en ce sens par le conseil municipal. Le 14 mars suivant, hier, il dévoilait, à l’entrée de cette rue, une plaque comportant un libellé différent de celui adopté trois mois plus tôt :
Le représentant de l’État dans le département a été averti de tous ces éléments : discours révisionniste, délibération légalement contestable, inauguration avec discours potentiellement attentatoire aux principes et valeurs de la République. Il l’a été en temps utile : utile à la protection de la puissance publique face à une menace autrement plus sérieuse que celle d’un humoriste interdit de spectacle pour risques de grossièretés antisémites. Plus sérieuse parce qu’émanant d’un élu auquel la qualité de premier magistrat municipal ne saurait être reconnue sans faire, en l’occurrence, injure à notre justice. Plus grave, aussi, en raison du déclenchement entre-temps, sur l’ensemble du territoire, d’un plan Vigipirate à son niveau supérieur.
Aucune mesure préventive n’a toutefois été mise en œuvre, et l’autorité de l’État s’en est trouvée affaiblie : déni de la loi du 6 décembre 2012 relative à la reconnaissance du 19 mars comme journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d' Algérie ; laissez-faire au regard d’un projet d’éloge public d’un officier militaire - putschiste - ayant trahi la République au moment même où l’on attendait de lui l’obéissance à un Gouvernement légal et à une autorité légitime.
Cette stratégie a permis, hier, à Robert Ménard de tenir - et diffuser dans le même temps sur le site Internet de la ville de Béziers - un discours (cf. infra, sa reproduction intégrale) allant largement au-delà de la réécriture de l’histoire, de l’apologie du terrorisme de l’OAS et de la propagande nationaliste. En effet, les limites de la xénophobie et du racisme ont été franchies, comme l’illustrent les extraits ci-après, au point de rendre le maire de Béziers passible a priori de sanctions administratives et, plus sûrement, de poursuites pénales au regard des textes qui encadrent la liberté d’expression :
- « […] alors qu’on obligeait un million de Français à quitter leur Algérie natale, on ouvrait la France - quasi simultanément - à des millions d’immigrés bien décidés pour certains à ne jamais se sentir, à ne jamais devenir des Français à part entière. » ;
- « Colonisation de peuplement, disait-on de la présence française en Algérie. Il faut parler aujourd’hui, en France, d’immigration de peuplement, d’immigration de remplacement. » ;
- « Il y a 50 ans, je m’en souviens, vous vous en souvenez, nous tapions sur des casseroles en scandant « Algé rie française ». Il faudrait aujourd’hui, avec la même ardeur, avec la même détermination, dire non à cette France métissée qu’on nous promet, qu’on nous annonce, qu’on nous vante. ».
La loi s’appliquera-t-elle enfin à l’encontre de ce maire que son programme politique, axé sur la propagande, s’appuyant sur la valorisation des armes et comportant même la justification de leur utilisation contre la République, apparente à un authentique fasciste ?
On peut l’espérer en considération de l’esprit républicain retrouvé avec les interventions, au cours de la journée d’hier, du Gouvernement à ses plus hauts niveaux, venu in extremis conforter les opposants à la cérémonie appelée par Robert Ménard.
Ainsi, réprouvant cette initiative, le Premier ministre a-t-il affirmé que "la nostalgie, et notamment la nostalgie de l' Algérie française, n' apportera rien de bon", le porte-parole du gouvernement déclarant quant à lui : « Avec Denoix de Saint Marc, Ménard et FN montrent leur visage : réécrire l' Histoire, mépriser la mémoire et s' en prendre à la République. Face à ceux qui cherchent à raviver les plaies du passé pour nous diviser, plus que jamais, le devoir de rassemblement s'impose. ». Dans un communiqué national intitulé "Le maire de Béziers, soutenu par le FN, porte atteinte à la République", le Parti socialiste avait, de son côté, dit presque dans le même temps s’associer aux initiatives se déroulant ce samedi à Béziers contre la décision de M. Ménard.
Ces positionnements ont été obtenus grâce l’engagement et à la mobilisation, dans l’unité pour la République, d’associations nationales, régionales et locales, représentatives du monde combattant, des victimes de l’OAS, des rapatriés, des valeurs humaines et citoyennes ainsi que d’organisations syndicales et de formations politiques qui, dès l’origine, ont su voir dans l’infâme projet de Robert Ménard tant une menace au regard de l’ordre public qu’un risque de retour à la guerre, celle des mémoires, entre la France et elle-même.
Ces déclarations ont été rendues possibles par le recueil de plus de trois mille signatures sur une pétition électronique en faveur de la sauvegarde de la rue du 19 mars 1962 à Béziers cf. : http://www.petitions24.net/signatures/sauvons_le_nom_de_la_rue_du_19_mars_1962_de_beziers/start/3640).
La publication de ces communiqués gouvernementaux a été l’heureux point d’orgue d’un contre-rassemblement auquel le président de la FNACA de Paris, empêché à la dernière minute, a dû mandater l’un de ses membres. Face à moins d’un millier et demi de revanchards de l’Algérie française, d’anciens criminels de l’OAS et d’identitaires de la Ligue du Midi, ce sont quelque 600 participants, parmi lesquels des parlementaires, anciens ou en activité, qui ont exprimé de vive voix leur opposition résolue à la ligne de conduite fascisante tracée par Robert Ménard dans les rues de Béziers.
Dans ce contexte de sursaut républicain à la tête de l’État et du parti de gouvernement majoritaire, l’on se prend à espérer, outre la mise en œuvre de procédures de sanction à l’encontre du maire de Béziers, la présence, le jeudi 19 mars, du Premier ministre devant le Mémorial national des Morts pour la France en AFN quai Branly à Paris et celle du Président de la République lors du ravivage de la Flamme du Souvenir sous l’Arc de Triomphe.
Dans l’immédiat, tournons nos pensées vers les six victimes du massacre collectif perpétré, il y a tout juste cinquante-trois ans, à l’intérieur du siège des Centres sociaux éducatifs créés à Alger par la résistante et déportée Germaine Tillion. Sachons nous rappeler que ces six serviteurs de l’éducation et de la culture française ont été assassinés par un commando de déserteurs issus du même régiment qu’Hélie Denoix de Saint Marc, à la mémoire de qui le maire de Béziers a osé dédier une rue le présentant comme un héros français.
Jean-François Gavoury Président de l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS (ANPROMEVO) le 15 mars 2015
« Assassinat du militant Henri Curiel en 1978 : La justice rouvre l'enquêteTANT MIEUX ET BRAVO !!! »
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Commentaires
Merci de ce nouveau coup de projecteur sur cette ordure...On croyait avoir touché le fond avec ce sinistre individu mais non, il est toujours plus ignoble !
Avec ce sinistre nostalgique de l'OAS, on n'a pas encore touché le fond...
Chaque jour c'est pire !
Nous avons appris ce matin à la radio que Ménard retirait ses affiches. Mais il ne va pas renoncer à l'idéologie qui est la sienne, on peut lui faire confiance. Simplement il avait joué à l'apprenti sorcier et devant le buzz qu'il a provoqué "il opère un repli stratégique sur des positions préparées à l'avance" Il ne désarme pas de son idéologie ringarde et dangereuse et ne renonce pas sans doute à ses ambitions politiques.
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Mercredi 13 Décembre 2017 à 22:12
Cet hypocrite sait s'adapter pour pouvoir récidiver dans l’ignominie ! Attendons la suite...
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Le photo-montage détournant l'affiche si justement contestée est plutôt réussi !
Mais il soulève une question de fond : pourquoi envisager que Robert Ménard souffre moins ?
Jean-François Gavoury-
Mercredi 13 Décembre 2017 à 11:14
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Merci Michel pour ces divers rappels. Eh oui à Béziers nous pourrions presque considérer que nous sommes sur une autre planète ou au moins à une autre époque, celle du colonialisme et du clairon de Déroulède. A vrai dire Ménard rend compte de l'expression exacerbée d'un système en fin de vie, il en est la résultante logique et cohérente !