• Le Peuple algérien ne veut pas plus de l’ingérence de la France ou du Parlement européen dans leur Révolution

    Le Peuple algérien ne veut pas plus  de l’ingérence de la France  ou du Parlement européen  dans leur Révolution

    Le Peuple algérien ne veut pas plus

    de l’ingérence de la France

    ou du Parlement européen

    dans sa Révolution

    Je remarque que ce peuple dit ne pas avoir de leçons à recevoir d’un Pays (la France) où la répression et les violences contre les gilets jaunes sont inqualifiables et où ce même pays n’a aucunes réactions concernant les massacres des enfants et de tous les Palestiniens  à Gaza par les sionistes avec la bénédiction de son parlement.
    La myopie du Sieur Glucksmann (disent-ils) à l’égard d’un mouvement social inédit dans son pays, avec son bilan catastrophique (11 décès, 24 éborgnés, 5 mains arrachées, 4300 blessés, 10852 gardes à vue, 3163 condamnations). (Ces chiffres sont-ils exacts ? je n’ai pas entendu parler de 11 décès ?)

    Je relève aussi cette phrase concernant le député Glucksmann  : « Evidemment, ce député, le petit-fils de Jacques Bénet, membre de l’OAS, inventeur de l’Académie berbère et du drapeau amazigh pour détruire l’union de l’Algérie, ne pouvant digérer la fin de ‘’l’Algérie française’’, saute à la première occasion pour nuire à cette Algérie qui l’a forcé à quitter son sol un certain 5 juillet 1962, valise à la main, sinon, dans un cercueil, sans La Marseillaise. »

    J’ai enfin l’impression que si le Peuple algérien finit par gagner sa Révolution et à obtenir sa deuxième République les relations entre l’Algérie et la France devraient être très différentes ?

    Michel Dandelot



    Le Peuple algérien ne veut pas plus  de l’ingérence de la France  ou du Parlement européen  dans leur Révolution

    Algérie – Ingérences du Parlement européen :

    la main de la France

    Le Peuple algérien ne veut pas plus  de l’ingérence de la France  ou du Parlement européen  dans leur Révolution

    Raphaël Glucksmann

    Le Peuple algérien ne veut pas plus  de l’ingérence de la France  ou du Parlement européen  dans leur Révolution

    Bernard Guetta

    Ce qui n’était, jusqu’à récemment, qu’une suspicion légitime, est devenu une certitude documentée et bien établie.

    Le Parlement européen a, en effet, décidé d’inscrire à l’ordre du jour de sa prochaine session plénière, du 28 novembre 2019 à Strasbourg, le vote d’une résolution d’urgence sur l’« emprisonnement des défenseurs des droits de l’homme et la liberté religieuse en Algérie ». Un titre fourre-tout, accouché au forceps par ses deux initiateurs français, dans le cadre de la poursuite de leur agenda commun d’ingérence dans les affaires intérieures algériennes.

    Il n’est guère étonnant de constater que cette rupture dans l’attitude de l’Union européenne, qui jusqu’à récemment, réitérait une énième fois son strict « respect de la souveraineté algérienne », soit l’œuvre d’eurodéputés français, en les personnes de Raphaël Glucksmann et de Bernard Guetta, qui, comble de l’ironie, appartiennent à deux groupes politiques aux orientations programmatiques différentes, mais les deux compères ayant en commun, un ressentiment haineux et partagé à l’égard de l’Etat et du peuple algériens.

    Une aubaine inespérée pour un certain Bernard Guetta, eurodéputé élu sur la liste européenne du Président Emmanuel Macron et naguère journaliste et chroniqueur besogneux sur une radio nationale française, qui se fera un malin plaisir pour remettre en service sa plume fielleuse pour s’adonner à son sport favori de l’algerian bashing. Il répète d’ailleurs, à l’envie, que l’Algérie est un pays sclérosé parce que le pouvoir militaire a succédé à la France coloniale et que les algériens se réjouissent du retour des militaires français à leur frontière sud (sic)

    Mais c’est surtout le vaniteux et narcissique, Raphaël Glucksmann, eurodéputé socialiste, qui est l’inspirateur et l’artisan de cette forfaiture au parlement européen.

    Ce pur produit de la chapelle néo-conservatrice, atlantiste à ses heures perdues, a d’ailleurs fait ses premières armes dans le complotisme anti-russe en mode «BHL stagiaire» dans certaines républiques de l’Europe orientale, pour soutenir fougueusement ces fameuses « révolutions colorées » en Géorgie et en Ukraine, dont on connait, aujourd’hui, les laboratoires patentés qui les ont fabriquées. L’intéressé a été le gérant, peu glorieux, dans les années 2000, d’une société occulte de lobbying (Noé Conseil) qui a fait des soulèvements nationaux un fonds de commerce lucratif.

    Benoitement donc, notre preux et blanc chevalier, pourfendeur des Etats souverains, s’est fendu d’une lettre puérile sur son compte twitter pour revendiquer la paternité et s’attribuer ce « haut fait d’armes ». Le tout, enrobé de ces concepts attrape-nigauds, teintés d’un sentimentalisme condescendant et de sollicitude généreuse et complaisante, pour tenter (vainement) de duper l’opinion publique algérienne. Ainsi, On a droit à un enfantin « 1,2,3 Viva la démocratie », « mes amis algériens », « votre incroyable révolution », voire même à un « clin d’œil » à Total , histoire de bidonner, à la va vite, un semblant de crédibilité pour mieux laisser accroire à la prétendue « indépendance » de son initiative.

    Pourtant, le nouvel « ami » de l’Algérie au Parlement européen aurait été plus convaincant et certainement mieux inspiré de porter les préoccupations de son peuple, qui a lancé une véritable révolte sociale et citoyenne (mouvement des gilets jaunes) et qui souffre dans sa chair, chaque semaine, depuis maintenant plus d’une année, de l’usage disproportionné de la force avec l’emploi massif de matériels classés armes de guerre (grenades explosives GLI-F4, grenades de désencerclement à effet de souffle et contenant de la TNT, de lanceurs de balles LBD40, techniques de nasse pour mieux réprimer…)

    La myopie du Sieur Glucksmann à l’égard d’un mouvement social inédit dans son pays, avec son bilan catastrophique (11 décès, 24 éborgnés, 5 mains arrachées, 4300 blessés, 10 852 gardes à vue, 3 163 condamnations), n’a d’égal que son indifférence complice vis-à-vis de la situation de ses trois collègues catalans, Carles Puigdemont, Toni Comín et Oriol Junqueras Vies, dont la qualité de députés européens leur a été refusée, illégalement, selon l’avis juridique de l’Avocat Général de la Cour de Justice de l’Union européenne.

    Mais, là aussi, circulez, il n’y a rien à voir car l’acte de sédition qui est refusé sous d’autres latitudes est bien cautionné, sans état d’âme, lorsqu’il s’agit d’un Etat membre de l’Union européenne. Le fameux deux poids deux mesures si cher aux donneurs de leçons ; les responsables des institutions européennes, si prompts à se mêler des affaires intérieures d’autres États, répètent inlassablement, s’agissant de la Catalogne où les violences policières étaient choquantes, qu’il s’agit là, «d’une affaire intérieure à l’Espagne » et qu’il n’est surtout pas question d’empiéter sur la souveraineté de ce pays.

    L’imposture est autrement plus parlante dans le cas des pertes tragiques en vies humaines que connaissent des mouvements de contestations un peu partout dans le monde, Irak (319 morts), Bolivie (23 morts), Iran (12 morts), Colombie (03 morts), Chili (22 morts), Hong Kong (01 mort), y compris au Liban (01 mort), pays natal de sa compagne, mais à propos duquel Raphaël Glucksmann ne peut, bien entendu, piper mot. On ne l’entend pas, non plus, sur la Palestine et les affreux massacres qui se perpétuent impunément à Gaza, lui dont le géniteur et directeur de conscience disait : « je regrette que l’offensive israélienne dans la bande de Gaza soit qualifiée de « disproportionnée » » car pour lui, le Hamas, «utilise la population de Gaza comme bouclier humain sans souscrire aux scrupules moraux et impératifs diplomatiques de son adversaire». Tout simplement affligeant de cynisme froid et immoral.

    Enfin, si cette ingérence caractérisée constitue un précédent fâcheux dans les annales du Parlement européen, puisque la pratique et l’usage en cours dans cet hémicycle est de ne jamais interférer dans les situations nationales lorsque le pays en question est engagé dans un processus électoral, il faudrait surtout voir, dans cette initiative, malveillante et volontairement clivante, portée par deux apprentis-sorciers français, une tentative de polariser la société algérienne, pour essayer d’affaiblir et lézarder notre front interne qui est, et restera le bouclier et le rempart inexpugnable de notre souveraineté nationale.

    Nul doute, que cette énième entreprise sera vouée à l’échec face à la clairvoyance et à la vigilance du peuple algérien, qui connait fort bien ses ennemis d’hier et leurs serviteurs d’aujourd’hui.

    Réponse au député français :

     Merci on ne veut pas de votre liberté ... !

     

    Ce n’est pas la première fois que l’union Européenne, s’en prend à l’Algérie où certains de ses députés en costume bleu blanc rouge, suscitent à chaque fois l’indignation des Algériens. Cette fois, c’est l'eurodéputé français Raphael Glucksmann qui annonce un débat sur l’Algérie : «un coup d’épée dans l’eau» ? Quelle surprise ! Il dénonce le silence du Parlement européen sur la question de l’Algérie, sans pour autant dénoncer la répression et les violences contre les gilets jaunes de son pays, ou encore les massacres des enfants à Gaza par les sionistes avec la bénédiction de son parlement.
    Le porte-parole de la main étrangère qui souffle le feu dans la maison de l’Algérie, qualifie de répression des manifestants ayant brandi le drapeau berbère ! Evidemment, ce député, le petit fils de Jacques Bénet, membre de l’OAS, inventeur de l’’Académie berbère et du drapeau amazigh pour détruire l’union de l’Algérie, ne pouvant digérer la fin de ‘’l’Algérie française’’, saute à la première occasion pour nuire à cette Algérie qui l’a forcé à quitter son sol un certain 5 juillet 1962, valise à la main, sinon, dans un cercueil, sans La Marseillaise.
    Dégoûté de voir 40 semaines de manifestations pacifiques sans incidents, chantant la même chanson, tous unis pour l’Algérie, le peuple et l’Armée, frères unis. Il est vrai que les 40 millions d’Algériens ne partagent pas les mêmes idées et les mêmes opinions politiques, et c’est démocratique, mais ils sont là tous unis sous le même langage, quand il s’agit d’ingérence ! Tout le peuple algérien crie aujourd’hui au visage de ce député français : il vaut mieux voir la vermine qui vit dans votre démocratie déguisée qui matraque vos gilets jaunes, étant vous-même une vermine !
    Cette union européenne qui rhabille le connard français pour cet hiver pour le chauffer contre l’Algérie d’un million et d’un demi-million de chahid, devrait instrumentaliser plutôt la question des tortures commises en Algérie par la France durant la guerre de libération, ou encore la répression sanglante des manifestions du 17 octobre 1961, où des centaines de manifestants algériens furent jetés dans la Seine.  
    L’Algérie a payé de son sang le prix fort de son indépendance, et continue de payer cher pour sa survie, et quand l’Algérie était seule face au terrorisme, où elle a payé la lourde facture de 200 mille morts, où était-elle la France durant ce temps-là ?
    Aujourd’hui, cette France ; l’ennemie d’hier qui a assassiné des millions d’Algériens pour la seule raison légitime : faire sortir cette France coloniale de l’Algérie, elle veut revenir aujourd’hui en soi-disant amie pour défendre les libertés des Algériens. Mais de quelle liberté parle-t-elle ? De cette phrase (liberté égalité fraternité) qui symbolise son drapeau, et qui par cette liberté, a colonisé l’Algérie durant 130 ans, pillé, volé, massacré et tué des millions d’Algériens ! Merci on ne veut pas de votre liberté ... !

    SOURCE : https://www.reflexiondz.net/Reponse-au-depute-francais-Merci-on-ne-veut-pas-de-votre-liberte-_a59005.html
     

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