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Macron : « la France a une dette envers la Polynésie française sur les essais nucléaires » M. le Président n'oubliez pas l'Algérie
Monsieur le Président n’oubliez pas aussi les essais nucléaires en Algérie !!! Mais nous savons maintenant ce que valent vos belles paroles, vos beaux discours… «Paroles... Paroles»... vous aurait dit Dalida avec les paroles qui décrivent la conversation d'un homme offrant à une femme "des caramels, des bonbons et du chocolat" suivie d'une pluie de compliments, à ce qu'elle dit, ils ne signifient rien pour elle car ce ne sont que des "paroles" – des mots vides.
Michel Dandelot
Macron : « la France a une dette envers
la Polynésie française sur les essais
nucléaires »
En déplacement à Papeete (Polynésie française), le président français Emmanuel Macron, dont le discours était très attendu sur la question des essais nucléaires réalisés par la France entre 1966 et 1974 dans le Pacifique, a affirmé que le pays « avait une dette » envers la Polynésie française. « J'assume et je veux la vérité et la transparence avec vous », a déclaré le chef de l'Etat devant les responsables polynésiens, affirmant que les victimes de ces essais devaient être mieux indemnisées. « La nation a une dette à l'égard de la Polynésie française. Cette dette est le fait d'avoir abrité ces essais en particulier ceux entre 1966 et 1974, dont on ne peut absolument pas dire qu'ils étaient propres ». Il n'a en revanche pas prononcé le mot de « pardon » qui était réclamé par des associations de victimes de ces essais.
« Mais c’est un pape ou un président de la République qui dirige la France ? Le 17 octobre 1961 : Prochaine étape mémorielle en France ? »
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Commentaires
Indemniser oui mais ça ne guérira pas de leurs maladies ceux qui ont été atteints par la radioactivité consécutive à ces essais nucléaires. Tirons les enseignements de cette affaire, qu'il s'agisse du Sahara ou de la Polynésie. Arrêtons cette course démente à la dissuasion atomique, signons et ratifions le Traité d'Interdiction des Armes Nucléaires adopté par l'ONU le 7 juillet 2017.