• Œil pour œil- dent pour dent la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    Sur ce blog les extrémistes nostalgériques qui se prennent encore et toujours pour une race supérieure comme du temps de la France coloniale, de leur regrettée Algérie française sont rejetés. Qu’ils aillent cracher leur haine ailleurs… pas de place pour les nostalgiques de l'oas (rebaptisées : l'organisation des animaux sauvages)a

     

    Œil pour œil- dent pour dent

    LA PAIX DES MéMOIRES

    FRANCO-FRANçAISE

    N’EST PAS POUR DEMAIN…

    Nous serons morts mon frère...

    alors n'HéSITONS PLUS à continuer

    la guerre des mémoires...

    puisque Robert Ménard et Julien Sanchez, respectivement maires de Béziers et de Beaucaire dans le sud de la France et figures emblématiques de l’extrême droite, n’ont pas hésité à franchir le pas en prenant des arrêtés municipaux en 2015 pour changer les noms de deux rues qui célèbrent les accords d’Évian, marquant la fin de la guerre d’Algérie.
    Pis encore, Ménard n’a pas hésité à donner à la même rue le nom d’un ancien officier
    Putschiste de l’armée, Hélie Denoix de Saint Marc, partisan de l’Algérie française… Œil pour œil- dent pour dent DES MAIRES français ont honoré des algériens... MAIS AUSSI CONTINUONS D'INAUGURER DES LIEUX DU 19 MARS 1962... AUJOURD'HUI NOUS EN SOMMES à 8000

    5000 artères du 19 Mars 1962

    1000 sites personnalisés 19 Mars 1962

    2000 autres lieux de mémoire 19 Mars 1962

    et puis il y a des lieux identiques en France et en Algérie

    Et voici les dernières en date

    PEYSSIES (HAUTE-GARONNE)

    Publié le 25/08/2017

    Inauguration de l'Espace Souvenir

    3 dates :

    19 Mars 1962

    8 Mai 1945

    11 Novembre 1918

    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    Pendant l'allocution du maire./ Photo DDM G. Ruquet

    A l'occasion de la fête locale, l'espace souvenir a été inauguré en présence du maire Daniel Grygza, de conseillers municipaux, ainsi que de Roger Toullec et André Dhap de la Fédération nationale des anciens combattants d'Algérie.

     «C'est cet espace du souvenir matérialisé par une plaque sur laquelle sont gravées trois dates, qui contribuent à l'Histoire de notre pays, devait souligner Monsieur le Maire. 11 novembre 1918 date de l'armistice de la première guerre mondiale où dix Peyssiessois sont morts sur le champ de bataille, 8 mai 1945 victoire sur le nazisme d'où un seul Peyssiessois n'est pas revenu et enfin 19 mars 1962 cessez-le-feu en Algérie d'où heureusement tous les habitants de la commune sont revenus.»

    Après le dépôt de gerbe par les jeunes du comité des fêtes et les airs de circonstance joués par l'orchestre Serge Vergnes, un apéritif était offert à tous les participants.

    La Dépêche du Midi

    SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2017/08/25/2633199-inauguration-de-l-espace-souvenir.html 

     

    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    Lafitte-Vigordane (haute-garonne) 

    Une plaque du souvenir pour les victimes

     de guerre inaugurée le 13 août 2017

    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    MM. Toulec et Roquebert, Mme la Maire Karine Brun, devant la nouvelle plaque du souvenir./ Photo DDM

    Le 13 août dernier, en marge des traditionnelles festivités locales du 15 août, de nombreux Lafittois et Lafittoises s'étaient réunis sur la place devant la Mairie en présence notamment de Monsieur Toulec (vice-président départemental de la Fnaca), Monsieur Roquebert, Madame la Maire de Lafitte-Vigordane, Karine Brun et de plusieurs élus de la commune afin de dévoiler une plaque commémorative sur notre monument aux Morts.

    Le 17 juin 2016, M. Toulec (vice-président départemental de la Fnaca), M. Roquebert (président du comité des anciens combattants du canton du Fousseret), et M. Larrey (ancien combattant de Lafitte-Vigordane) avaient en effet contacté la mairie dans le cadre des «Espaces du Souvenir» mis en place dans les villages de la région.

    Ils avaient alors présenté l'objectif de cette démarche : afficher clairement, à Lafitte-Vigordane, une marque du souvenir des trois grandes guerres, les «première» et «seconde» guerres mondiales bien entendu, mais également la guerre d'Algérie, au cours desquelles des civils, dont certains Lafittois, ont été appelés et ont perdu la vie.

    Se sentant totalement investi du devoir de mémoire envers ces hommes, le conseil municipal a donc répondu positivement à cette demande.

    Cet «Espace du Souvenir» à Lafitte-Vigordane porte la date de l'armistice du 11 novembre 1918, celle de la victoire sur le nazisme le 8 mai 1945 et enfin celle du cessez-le-feu de la guerre d'Algérie le 19 mars 1962. Il permettra ainsi de rappeler aux générations à venir le sacrifice de tous ces combattants au feu.

    La Dépêche du Midi 

    SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2017/08/19/2630356-une-plaque-du-souvenir-pour-les-victimes-de-guerre.html 

     

    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    Place Maurice Audin à Alger

    plaquealgeriezoom.jpg

    Place Maurice Audin, dans le 5ème arrondissement de Paris
    a été inaugurée par Bertrand Delanoë

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    Plaque commémorative Maurice Audin  A alger

    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    L'École Nationale Polytechnique d'Oran

     (ex ENSET) baptisée Maurice Audin

    L'École Nationale Polytechnique d'Oran  (ex ENSET) baptisée Maurice Audin Il n'y avait que la Place du centre-ville de la capitale qui portait son nom. Désormais une institution des Sciences a été bap

    Il n'y avait que la Place du centre-ville de la capitale qui portait son nom. Désormais une institution des Sciences a été baptisée en cette journée du savoir du nom du martyr de la nation Maurice Audin. C'est fait ce dimanche 16 avril 2017, le nom de Maurice Audin a été donné à l'École Nationale Polytechnique d'Oran (ex ENSET).

    Une belle et riche cérémonie a été consacrée à l’événement avec la participation de responsables nationaux et locaux. Une forte assistance notamment estudiantine ont pris part au cérémonial, en présence de Pierre, fils de Maurice Audin et son épouse.

    L’Ecole nationale polytechnique d’Oran (ENPO) a donc été baptisée, hier, au nom du martyr Maurice Audin, jeune mathématicien et militant anticolonialiste ayant épousé la cause nationale, assassiné par les parachutistes du tristement célèbre général Massu.

    La cérémonie, coïncidant avec Youm El Ilm, a été présidée par le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Salah Eddine Seddiki, en présence des autorités locales, de représentants de la communauté universitaire locale et du fils du défunt. Dans son intervention, le directeur de l’ENPO, Abdelbaki Benziane, a évoqué la vie de ce militant anticolonialiste, enseignant de mathématiques, arrêté, sauvagement torturé puis assassiné en juin 1957, durant la Bataille d’Alger. Le même responsable a expliqué que la baptisation de l’ENPO au nom de Maurice Audin n’est pas un choix fortuit, car, a-t-il rappelé, depuis sa création en 1970, l’ex-Ensep, puis Enset, devenue à partir de 2012 ENPO a été investie de la mission de prendre en charge des formations de sciences et techniques, avec une prédominance pour les mathématiques.
    Le fils de Maurice Audin, Pierre, a qualifié, dans une déclaration à l’APS, cet événement de symbole fort, appelant les responsables de l’ENPO à relever le défi d’une formation de pointe et de qualité. La cérémonie a été marquée par l’inauguration d’une stèle dédiée à Maurice Audin et érigée dans l’enceinte de l’école.

     

    L'École Nationale Polytechnique d'Oran  (ex ENSET) baptisée Maurice Audin Il n'y avait que la Place du centre-ville de la capitale qui portait son nom. Désormais une institution des Sciences a été bap

    Le fils de Maurice Audin : Pierre Audin accompagné de son épouse

    Né le 14 février 1932, dans la ville de Béja, en Tunisie, de père né en France et de mère née en Algérie. Maurice Audin suivit pratiquement toute sa scolarité à Alger où sa famille vit depuis les années 1940. Il entra à la Faculté des sciences d'Alger, en 1949, à l'âge de 17 ans. Brillant étudiant, il fut appelé le 1er février 1953 comme assistant par le professeur Possel qui le prit aussitôt en thèse et le mit en contact avec son patron de Paris, le grand mathématicien Laurent Schwartz.

    En plus de ses activités de chercheur, Maurice Audin, membre du Parti communiste algérien depuis 1951, était omniprésent dans les luttes syndicales et politiques. C'est à travers ces luttes que se forgea sa conscience nationale. Il intégra ainsi la nation algérienne en lutte pour sa dignité. Il a été assassiné par les parachutistes le 21 juin 1957. Comme des milliers de disparus de la Bataille d'Alger, son corps n'a pas été retrouvé à ce jour.

     

    Leurs noms sont attribués à de nombreux lieux publics

    Ces Algériens honorés par la France

    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

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    Œil pour œil- dent pour dent  la paix des mémoires franco-française n'est pas pour demain...

    © D.R.

    Mohamed Arkoun, Lounès Matoub, Slimane Azem, Taos Amrouche… sont autant de figures emblématiques dont l’État algérien a choisi de censurer la mémoire. Comble de l’ironie, c’est en France qu’ils sont honorés.

    Nul n’est prophète en son pays, surtout pas des personnalités de l’envergure de Taos Amrouche, dont le nom a été attribué à un second établissement scolaire en France. Au début du mois de septembre 2016, la municipalité de Saint-Denis, au nord de Paris, a procédé, à la rentrée, à l’inauguration d’une école élémentaire qui honore la mémoire de l’auteur du Grain magique. En 2014, la mairie d’Aubervilliers a mené une opération similaire dans un autre établissement d’enseignement public. Au sein de cette commune se trouve aussi la rue Mohammed-Dib ou encore Matoub-Lounès. Le nom du chanteur est attribué à au moins dix lieux publics dans l’Hexagone, à Paris, mais également dans d’autres villes comme Nancy, Grenoble, Lyon et Dijon.
    Souvent, les démarches visant à donner à des lieux publics les noms d’Algériens célèbres sont suscitées et appuyées par des associations de la diaspora. Elles ont évidemment plus de chance d’aboutir dans des municipalités de gauche, surtout communistes, dont les élus ont toujours été proches de l’Algérie. À Saint-Ouen (un autre foyer de l’immigration algérienne au nord de la capitale française), une rue porte, depuis 2008, le nom de Nadia-Guendouz, une infirmière de la Révolution et poétesse. L’initiative émane de Jacqueline Rouillont-Dambreville qui dirigeait alors la municipalité. En Algérie, plus précisément à Alger où elle a vécu jusqu’à son décès en 1992, l’illustre militante est restée pratiquement une anonyme. Aucun hommage officiel ne lui a été rendu.
    De même, presque personne ne connaît Abdelmalek Sayad, un éminent sociologue algérien, assistant de Pierre Bourdieu et ancien directeur de l’École des hautes études sociales de Paris. Après sa mort en 1998, un de ses disciples, M’hamed Kaki, qui dirige l’association culturelle Les Oranges à Nanterre (banlieue nord de Paris), a décidé de le porter à la postérité, en faisant tout son possible pour que son nom soit gravé sur le marbre. Les autorités ont finalement répondu favorablement en 2013 donnant le nom de Sayad à un collège de la ville. Pour M’hamed Kaki, il était important d’entreprendre cette démarche afin d’enrichir le travail de mémoire qui est fait par les élites de l’immigration en France. “Ce travail consiste à mettre en lumière ce qu’ont fait nos parents pour la reconstruction de la France. On s’aperçoit que, petit à petit, il n’y a plus de traces de nos jours de ce travail. On a surtout vu que dans l’espace public, aucune structure ne portait le nom d’un savant, d’une personnalité issue de l’immigration coloniale”, fait-il savoir.
    Sans le vouloir, Mohamed Arkoun était également un porte-drapeau. Philosophe éclairé et humaniste de renommée internationale, il était un critique méticuleux de la pensée islamique.
    À la suite de sa disparition en 2010, l’ex-maire de Paris a proposé de baptiser la bibliothèque des sciences sociales du 4e arrondissement  de son nom. Bertrand Delanoé avait évoqué, à l’époque, “un inlassable artisan du dialogue entre le christianisme, le judaïsme et l'islam, animé par la conviction que ce qui rassemble les différentes expressions de la foi monothéiste est infiniment plus puissant, et finalement plus réel, que ce qui les sépare”.
    Une simple bibliothèque pour immortaliser Arkoun est sans doute une preuve d’estime très insuffisante. Au cours de sa vie, celui qui a prodigué son savoir dans les universités les plus prestigieuses du monde a été le destinataire de plusieurs distinctions, des honneurs dont il a été privé dans son propre pays. Pis, Arkoun est parti de son pays natal, chassé par les tenants de l’obscurantisme. En 2013, la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou avait pensé à lui rendre justice en donnant son nom à la bibliothèque principale de la lecture publique de la ville.
    Cette initiative est, cependant, restée sans suite. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a inauguré les lieux en mai dernier, mais à aucun moment le nom d’Arkoun n’a été évoqué. Ce reniement est valable pour Assia Djebar qui avait dû quitter l’Algérie quelques années après l’indépendance, parce qu’on lui avait imposé d’enseigner l’histoire en arabe. Bien avant sa mort en 2015, l’écrivaine, membre de l’Académie française, était déjà un symbole. Son nom n’apparaît pas seulement sur des plaques de rues.
    En mai 2016, un hommage supplémentaire lui a été rendu par l’École normale supérieure de Paris dont une salle lui est dédiée. Considéré comme un événement rare, cet acte de baptême a été qualifié par le directeur de l’école, Marc Mezard, de “marqueur symbolique important porteur d’un message”. Dans l’établissement, d’autres salles ont été également baptisées. Elles portent les noms de Jean-Paul Sartre, Aimé Césaire et Jean Jaurès.
    En Algérie, les autorités ont bien tenté de rattraper le coup en créant un prix Assia Djebar à la suite de la disparition de l’écrivaine. Mais d’après ses proches, cette décision prise dans la précipitation relève plus d’une formalité. Ils évoquent pour preuve la qualité littéraire discutable des lauréats qui sont dans leur ensemble d’illustres inconnus.

    Des initiatives qui ne plaisent pas à tout le monde
    Encore aujourd’hui, les partisans du Front national à Saint-Ouen ne se résolvent pas à l’idée qu’une rue de leur ville porte le nom de Nadia Guendouz. Choqué de voir le sigle du FLN sur une plaque, ils demandent tout bonnement que le lieu soit débaptisé.


    Terminons par un petit souvenir de 2012 



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