• Que la police soit aussi condamnée par la Justice lorsqu’elle commet des homicides volontaires ou non !!!

    Que la police soit aussi condamnée par la Justice lorsqu’elle commet des homicides volontaires ou non !!!

    Que la police de Macron soit aussi condamnée par la Justice lorsqu’elle commet des homicides volontaires ou non !!!

     

    Hommage à Zineb Redouane le vendredi 7 décembre 2018, âgée de 80 ans, décédée le 2 décembre 2018 lors d’une opération chirurgicale. Elle a reçu une grenade lacrymogène en plein visage lancée par la police en fermant sa fenêtre du 4ème étage de sa maison le 1er décembre 2018 au 12, rue des Feuillants dans le quartier Noailles à Marseille. 500 personnes étaient présentes pour lui rendre hommage et demander que justice soit faite.

    Selon l'une de ses voisines, Zineb a dit avoir été "visée" par "deux policiers" armés d'un fusil lance-grenades, alors qu'elle fermait ses fenêtres.

     

     

     GILETS JAUNES : «L’ALGÉRIENNE

    TUÉE À MARSEILLE A ÉTÉ

    DIRECTEMENT VISÉE

     PAR LES POLICIERS»

    Contacté par Maghreb Émergent, Sami Redouane, le fils de l’octogénaire algérienne Zineb Zerari épouse Redouane, décédée à Marseille, en France, suite à une blessure lors des émeutes des « gilets jaunes » samedi 1er novembre, a déclaré que deux policiers ont délibérément tiré une grenade lacrymogène sur sa mère.

    « Le samedi 1er novembre vers 17h30, entendant le brouhaha dans la rue, ma mère en refermant les volets de sa fenêtre pour éviter les fumées, a croisé le regard d’un CRS positionné en face de son immeuble. Celui-ci l’a immédiatement mise en joue et a tiré une grenade avec son fusil, il l’a atteinte en plein visage. Ses voisins l’ont immédiatement évacuée à l’hôpital », raconte Sami Redouane.

    Le fils qui vit à Alger et qui n’a pas le visa a pu avoir un très court échange avec sa mère au téléphone avant son agonie. Il a aussi échangé avec le docteur qui avait pris en charge sa mère et qui l’avait pourtant rassuré.

    « Le médecin chirurgien m’a dit que ma mère souffrait d’une fracture au niveau de la mâchoire supérieure et qu’il lui fallait une intervention chirurgicale bénigne qui ne nécessitait pas plus d’une heure de temps », explique notre interlocuteur.

    Malheureusement, Mme Zineb Zerari, âgée de 80 ans n’a pu tenir le coup après trois heures au bloc opératoire. Elle rendra l’âme vers 17H  dimanche 2 décembre, soit 24H après son admission à l’hôpital, nous a expliqué, effondré, son fils.

    Il a ajouté que le procureur de la République à Marseille a ordonné l’ouverture d’une enquête à ce sujet ainsi qu’une autopsie. A leur tour les proches de la victime vivant en France ont constitué un avocat et ont déposé plainte contre les policiers en question. « Nous avons déposé plainte et notre avocat se chargera de poursuivre les fautifs. Nous avons également des témoins qui ont vu la scène », a-t-il signalé.

    Il faut noter que Mme Zineb Zerari avait un statut de résidente en France. Elle faisait des allers-retours entre les deux pays pour des soins. Elle s’y était rendue, cette fois-ci, pour un contrôle médical, elle était arrivée à Marseille le 4 septembre dernier.

    Source : Maghreb Emergent, Lynda Abbou, 03-12-2018 

     

     

     

    Mon hommage à Zineb Redouane

    Que la police soit aussi condamnée par la Justice lorsqu’elle commet des homicides volontaires ou non !!!

    Cette France là n’est pas ma France !!! Cette France là me dégoûte, me révolte !!!

    Ma France à moi est belle, ma France à moi a des villages, des églises, des mosquées et des synagogues, ma France à moi est composée de musulmans, de chrétiens, d'athées, d'agnostiques, de blancs, de jaunes, de blacks, de beurs.

    Ma France à moi ne reconnait que des citoyens membres éternels du corps et de la souveraineté nationale. Ma France à moi préfère dépasser la "diversité" pour aller vers l'unité. Ma France à moi refuse les replis communautaires.

    Ma France à moi dit à chacun qu'ils sont Français peu importe comment ils le sont devenus.
    Ma France prend sa source dans un petit cours d'eau au fond des âges et au fur et à mesure du temps s'agrandit et s'enrichit de celles et ceux qui l'ont épousée pour former une entité aussi vaste que les océans.

    Ma France à moi ne voit que l'entité une indivisible que forment le territoire, la population y vivant, et les institutions représentant cette population. Je dis "la" population et non "les" populations.

    Ma France à moi ne reconnait qu'un peuple français et ne s'attarde pas sur les différences qui la composent, parce qu'elle sait que mettre en avant ces différences ne mène à rien de bon.

    Ma France à moi ne nie en rien l'individu et ses particularités diverses et multiples, elle préfère les dépasser.
    Ma France à moi ne dit pas à "l'autre" qu'il est "autre" mais des "nôtres" tant qu'il le désire, qui qu'il soit et d'où qu'il vienne.
    A nos "gouvernants" : la France, comme la Nationalité qui unie chaque individu à celle-ci ne vous appartiennent pas ! La France et ses valeurs appartiennent au Peuple!

    Mes condoléances à toute sa famille.

     

     

     

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