• Valeurs Actuelles ment honteusement

     

    Valeurs Actuelles ment honteusement

    hier je vous ai présenté cette vidéo

    Regardez à la 6e mn 35‘’ des pancartes de contre-manifestants d'extrême droite se lèvent, alors que Sophie Binet la secrétaire générale de la CGT s’exprime.

    A la 7e mn Sophie Binet s’arrête de parler.

    A la 9e mn 47’’ elle reprend la parole.

    Ce que Valeurs Actuelles décrit comme une violente agression, « il a failli avoir une morte » a même osé prétendre une contre-manifestante d'extrême-droite a duré en tout et pour tout 3 mn 12’’.

    Ceci était un rassemblement anti extrême droite que j’approuve.

    Oui Sophie Binet a eu raison de dire que c’était une attaque fasciste.

    Ci-dessous l’article mensonger et outrancier de Valeurs Actuelles.

    Demain, avec ma plus grande conviction, je vais voter

    pour le Nouveau Front Populaire

    Mais avant cliquez sur ce lien  en vous mettant en plein

    écran, sans oublier d'ouvrir le son :

    https://twitter.com/i/status/1806441042192834793 

    Michel Dandelot

    Ami, entends-tu le vol noir du corbeau

     sur la plaine 

    Valeurs Actuelles ment honteusement

     

    Paris : des militantes du collectif féministe Némésis agressées par des manifestants anti-RN

    Des militantes du collectif Némésis, dont la présidente Alice Cordier, ont déployé des pancartes lors de la manifestation contre le Rassemblement national à Paris. Le groupe a rapidement été pris à partie et ses militants frappés.

    Valeurs Actuelles ment honteusement


    Les militantes du collectif Némésis ont été agressées lors la manifestation anti-RN © Valeurs actuelles 

    Des membres du collectif Némésis ont été ciblés et frappés lors de la manifestation anti-RN sur la place de la République à Paris. Le groupe de féministes identitaires est arrivé au milieu de la foule pour déployer des pancartes contre La France insoumise (LFI). Les militantes et leurs agents de sécurité ont alors été rapidement pris à partie. Les insultes ont d’abord fusé avant que la situation ne dégénère. Une violente bagarre a éclaté entre des manifestants et le groupe Némésis. Sur une vidéo diffusée par Valeurs actuelles ce jeudi 27 juin, il est possible de voir l’un des agents de sécurité être tabassé au sol par plusieurs individus.

    La directrice du collectif Némésis, Alice Cordier, a réagi après cette agression. « Nous avons été attaqués par des hommes de gauche. Pas que des antifas. Des pères de famille. Des jeunes. C’est ça le front populaire », a-t-elle dénoncé dans un message publié sur le réseau social X. La jeune femme a indiqué que certaines militantes se sont fait « balayer au sol » dans la bagarre. « Certaines battues ensuite au sol. Si nous n’avions pas une boîte de sécu, il y aurait eu une morte c’est sûr. Je n’ai jamais vu autant de haine alors que nous étions pacifiques. »

    Alice Cordier et deux autres militantes ont également réagi dans une vidéo enregistrée juste après les violences dont elles ont été victimes. La présidente du collectif Némésis a fait savoir qu’une militante du collectif était « à l’hôpital », sans donner plus d’informations. « On n’a jamais vu un tel déferlement de violence et de haine à une manifestation. (…) Cela montre leur vrai visage », a-t-elle déploré. Les deux autres militantes ont également commenté : « On voyait vraiment que c’était une volonté de nous attaquer nous. Ce n’était pas juste un effet de foule. » Et encore : « On a vraiment vu la haine dans le regard des gens, qui voulaient nous sauter dessus. »

    Une « attaque fasciste » du collectif Némésis

    D’après une vidéo relayée sur le réseau social X, la patronne de la CGT Sophie Binet a salué les manifestants ayant « résisté à cette attaque fasciste du collectif Némésis » lors de sa prise de parole sur la tribune installée place de la République.

    Marion Maréchal a aussi réagi sur le réseau social X, apportant son soutien aux militantes du collectif Némésis « violemment tabassées par les militants d’extrême gauche lors d’un happening place de la République » : « Une preuve supplémentaire de la menace du Front Populaire pour la sécurité des femmes. »

    3 500 manifestants étaient réunis hier soir place de la République pour protester contre le succès du Rassemblement national dans les urnes, selon les chiffres de la préfecture de police de Paris.

    De leur côté, les organisateurs annoncent la participation de 30 000 personnes.

    SOURCE : Paris : des militantes du collectif féministe Némésis agressées par des manifestants anti-RN - Valeurs actuelles 

     

    « Divine, victime de racisme : des personnalités de gauche au soutien de l'habitanteLa France sera-t-elle le pays des Lumières qui s’éteignent ? »

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