Que Robert Ménard parte
se battre en Ukraine
Sur RMC, Robert Ménard a donné raison à Emmanuel Macron de vouloir envoyer des troupes au sol en Ukraine. Le maire de Béziers confirme une fois de plus faire partie des va-t-en-guerre qui veulent que des soldats français partent mourir pour l’Ukraine de Zelensky.
On savait déjà que Robert Ménard utilisait d’une étonnante façon le budget municipal de Béziers, envoyant à Tchortkiv, ville ukrainienne jumelée à Béziers, des casques, des gilets pare-balles et du matériel défensif.
Nos soldats ne doivent pas mourir pour l’Ukraine
A plusieurs reprises, la maire de Béziers a prétendu à des journalistes que “les Ukrainiens se battent pour notre liberté, pour celle de l’Europe”.
Soit, si c’est l’avis de Robert Ménard, qu’il soit conséquent, qu’il abandonne son mandat municipal et parte se battre pour l’Ukraine.
Mais qu’il ne demande pas aux militaires français de mourir pour une patrie qui n’est pas leur en allant faire la guerre à la Russie qui n’a aucune intention d’attaquer la France.
Envoyons le LÂCHE Robert MÉNARD
en UKRAINE !
Robert Ménard, le maire de Béziers, est tout excité à l'idée d'envoyer des troupes militaires françaises face aux soldats russes ! Aidons-le à se rendre sur le front ukrainien pour faire la guerre et donner l'exemple.
Réponse d'un ami
Mais oui qu'il y aille en tête des premiers bataillons de miliciens français, ça nous débarrassera du petit facho bitterois. Vas Robert, vas-y, du vent ! Et n'oublie pas d'emmener tous les dirigeants, gardes du corps du RN et de Reconquête avec toi. Sans oublier dans ton baluchon : Marion Maréchal, Marine Le Pen, Eric Ciotti, BHL, Manuel Valls, Emmanuel Macron, Raphaël Glucksmann, Raphaël Enthoven, madame Levy, Michel Onfray, Ruth Elkrief, Pascal Praud, Luc Ferry,...
A visionner jusqu'à 2 mn 7 sec. et plus si vous souhaitez écoutez les conneries de Ménard...
J’ai mis en ligne sur mon blog des dizaines d’articles concernant le nostalgérique extrémiste Ménard voici quelques exemples.
Michel Dandelot
L’État choisit Béziers
pour sa politique anti-immigration
L’État prévoit de porter à 3 000 le nombre de places en CRA à l’horizon 2027, dont 120 à Béziers. PHOTO AFP - Nicolas Liponne.
L’annonce officielle de la construction d’un centre de rétention administrative à Béziers en 2027 suscite de vives inquiétudes au sein des associations et partis de gauche.
Après Sète, dans l’Hérault et Nîmes dans le Gard, c’est donc au tour de Béziers d’accueillir un nouveau centre de rétention administrative (CRA) à l’horizon 2027, où pourront être enfermées 120 personnes. Une mesure s’inscrivant dans le « plan CRA » porté par le gouvernement et le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avec l’objectif affiché d’avoir 3 000 places en France à la fin du quinquennat - contre 1 800 aujourd’hui.
Une augmentation de 50 % en quatre ans pour la bagatelle de 240 millions d’euros. Mais qui n’est pas sans inquiétude pour des associations humanitaires ou partis de gauche. Ainsi, à Béziers – où le futur bâtiment devrait être construit non loin du centre pénitentiaire – certains s’inquiètent de la potentielle surpopulation du site. « Sur l’Occitanie, les établissements pénitentiaires sont les plus surchargés de France, par exemple, le taux de suroccupation de Perpignan est de 230 %, si ce projet de CRA suit la même logique, on peut s’attendre au pire », craint un membre de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) de Béziers.
De plus, ces projets de CRA sont décriés par la LDH, notamment la logique d’enfermement administratif, comme mode de gestion des personnes étrangères. « De plus, le mot « rétention » laisse planer l’idée de stagnation, un mot sans espoir. On pourrait parler « d’aide à la régularisation » », poursuit l’adhérent.
Rhétorique de l’extrême droite
Mais surtout, ces annonces de l’exécutif s’inscrivent dans une démarche purement politicienne, faisant le lit de l’extrême droite. « C’est une mesure électoraliste et antidémocratique, s’exclame Nicolas Cossange, conseille municipal de la Ville de Béziers (PCF). On prive le Parlement de débat en mettant en application une partie de ce qu’on avait annoncé dans le projet de loi immigration, il y a là un souci démocratique. » Un constat partagé par la LDH biterroise. « Les élus ont du mal à aborder le sujet sous l’angle humaniste car ils savent très bien que ce sujet n’intéresse pas les électeurs. S’ils insistent trop, ils ne seront pas réélus. »
Une affaire faisant néanmoins le bonheur de l’édile d’extrême droite, Robert Ménard. « Cela fait déjà quelques années que Robert Ménard envoie des signes à la macronie, qui visiblement lui renvoie bien l’ascenseur. Or, lui qui n’a que l’amour de Béziers, tourne complètement le dos à l’histoire de notre ville, une ville d’accueil, ouverte », s’offusque Nicolas Cossange. Il serait temps de tourner la page Ménard et que la ville renoue avec ses traditions.
SOURCE : L’État choisit Béziers pour sa politique anti-immigration (lamarseillaise.fr)
Une pleureuse est née elle s’appelle Robert Ménard
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Mais la pleureuse ce n’est pas que cette année et que ça… revivez un article
de 2015…
TRISTES SOUVENIRS DE 2015
Il y a 53 ans, jour pour jour, le 19 décembre 1964, dans la cour du Panthéon retentissait le célèbre « Entre ici Jean Moulin » par la voix inimitable de M. André Malraux.
Le Cercle Jean Moulin, association nationale patriotique et républicaine, rappelle que Jean Moulin, Préfet de la République, est resté digne et droit devant l’adversaire et l’adversité.
Il a fait le Conseil de la Résistance. Il fit avec le Général de Gaulle ce que fut la France. Il remit à l’ordre du jour les valeurs de la République et de la France. Jean Moulin est allé jusqu’au sacrifice et au martyr ultime. Il est l’incarnation de la voix de la patrie et de l’unification de celle-ci.
En ces heures où la France se cherche, elle ferait bien de regarder vers ces hommes qui ont une vision volontariste, humaniste et progressiste de la Nation.
Jean Moulin n’est pas une icône, il est la mémoire de la France et portait avec lui son histoire.
« Aujourd’hui, jeunesse, puisses-tu penser à cet homme comme tu aurais approché tes mains de sa pauvre face informe du dernier jour, de ses lèvres qui n’avaient pas parlé, ce jour là elle était le visage de la France » André Malraux
Reviens, Jean Moulin, le maire de Béziers Ménard
est devenu fou furieux…
...Avec ses innombrables provocations, procès, condamnations cet ignoble personnage nous répugne... L'une de ses dernières absurdités mais qu'il a été obligé de retirer forcé par la Justice de la République :
BEZIERS :
LA MÉMOIRE PROFANÉE
DE JEAN MOULIN
20 janvier 2015.
Comme s’il brisait de ses mains la plaque apposée sur la maison qui vit naître Jean Moulin le 20 juin 1899 au 6 de la rue d’Alsace à Béziers, Robert Ménard a osé assimiler Hélie Denoix de Saint Marc à cette grande figure de la République française, ce héros national, panthéonisé, érigé en exemple par les défenseurs des principes et valeurs démocratiques.
C’est dans la dernière édition (numéro 5/janvier 2015) du Journal de Béziers - dont il est le directeur de publication - qu’il l’a fait, à la fin d’un article de deux pages consacré au projet de la municipalité de débaptiser la rue du 19 mars 1962 en vue de lui substituer le nom de l’officier putschiste, tristement célèbre.
Et c’est en ces termes qu’il a établi le rapprochement : « Que la ville de Jean Moulin honore la mémoire de cet éternel résistant, quoi de plus logique ? »
Il s’agit là d’une atteinte caractérisée à la mémoire de la personnalité de la Résistance la plus connue en France, son incarnation même aux côtés d’autres personnages tels que le général de Gaulle, Germaine Tillion ou Raymond Aubrac : le procureur de la République de Béziers aurait la faculté de se saisir de ce délit de presse, mais les institutions d’anciens combattants, le Cercle Jean Moulin et l’Association du corps préfectoral et des hauts fonctionnaires du ministère de l'intérieur peuvent intervenir dans le même sens auprès du tribunal de grande instance.
Mettre sur le même plan Jean Moulin et Hélie Denoix de Saint Marc relève du révisionnisme. C’est l’expression à la fois la plus indigne et la plus belliqueuse de cette même idéologie qui tend à la réhabilitation de Vichy, engendre le communautarisme, incite à la haine et propage des théories conspirationnistes et falsificatrices.
Le temps n’est plus à la constatation hébétée ni à la vaine dénonciation des dérives, transgressions et provocations du nouveau maire de Béziers : l’actualité souligne l’importance qui s’attache à ce que les cours et tribunaux mettent Robert Ménard hors d’état de nuire davantage à une concorde citoyenne dont la fragilité est patente tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de sa commune !
Jean-François Gavoury
Président de l’Association nationale
pour la protection de la mémoire
des victimes de l’OAS (ANPROMEVO)
Robert Ménard : Au nom de la haine
Comment le discours xénophobe, raciste et islamophobe se banalise à Béziers? Robert Ménard utilise tout ce qui est en son pouvoir pour déverser sa haine et prône une France blanche, judéo-chrétienne. Son idéologie inspirée par l'ultra droite trouve son public et s'enracine dans la cité de Pierre Paul Riquet et de Jean Moulin le résistant. Les valeurs de la République sont en danger.Ménard c’est toi le faux-cul
et en pensant à Jean Moulin le seul héros
de Béziers nous préférons
entendre chanter
« Le Chant des Partisans »