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VOICI MON PLUS BEAU SOUVENIR


 

VOICI MON PLUS BEAU

SOUVENIR

 

 VOICI MON PLUS BEAU  SOUVENIR

 

C'est en pensant à cette citation que je tiens à vous faire connaître m

"Ayant eu le grand honneur d'être invité par Jean-François Gavoury, président de l'ANPROMEVO (Association Nationale pour la Mémoire des Victimes de l’OAS), j'ai donc pu assister à cette cérémonie, inoubliable pour moi aussi. Comme beaucoup d'amis et de sites sont venus me rejoindre ici, depuis cette date du 6 octobre 2011,  c'est pour eux que je tiens à leur faire (re) vivre cette journée mémorable. C'est mon plus beau souvenir que je n'aurai jamais vécu si le 2 avril 2010 je n'avais pas créé ce blog"

  Michel Dandelot

 

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 Au premier plan et de gauche à droite : M. Ian Brossat, Mme Catherine Vieu-Charier, MM. Jean-François Gavoury et Bertrand Delanoë, Mme Anne Hidalgo et M. Jean-Philippe Ould Aoudia.

« Paris aujourd’hui relève la tête en disant que l’OAS était une organisation idéologiquement criminelle et, dans ses actes, barbare. » Bertrand Delanoë, maire de Paris, le 6 octobre 2011.

 

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Une stèle en hommage aux victimes de l’OAS

 

inaugurée à Paris

 


 

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Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, et sa première adjointe, Anne Hidalgo, ont inauguré jeudi 6 octobre 2011 au cimetière du Père-Lachaise à Paris une stèle en hommage aux victimes de l’OAS, une initiative inédite en France.

Le 8 février 2011 le Conseil de Paris avait voté à l’unanimité en faveur de la pose de cette stèle. Le vote des élus avait eu lieu le jour anniversaire de la manifestation organisée à Paris le 8 février 1962 pour dénoncer les agissements de l’OAS et la guerre d’Algérie. Une manifestation qui s’était terminée par un massacre à la station de métro Charonne.

 

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Une stèle pour les victimes de l’OAS

 

Une stèle à la mémoire des victimes de l’OAS a été dévoilée aujourd’hui au cimetière du Père-Lachaise au cours d’une cérémonie émouvante durant laquelle le maire PS de Paris Bertrand Delanoë a rappelé sa "fierté" de voir Paris être la première commune et institution à le faire.

 "L’OAS, c’est une organisation terroriste, c’est une organisation criminelle qui a voulu détruire la République. Les victimes que nous honorons aujourd’hui sont des femmes, des hommes, des enfants, des militaires, des Français et Algériens morts parce qu’une organisation a contesté et voulu abattre l’ordre démocratique", a dit le maire de Paris.

 La stèle porte l’inscription suivante : « 1961-1962. En hommage à toutes les victimes de l’OAS en Algérie et en France. Civils, militaires, élus, magistrats, fonctionnaires, défenseurs des institutions et des valeurs de la République ». Président de l’association ANPROMEVO (association nationale pour la mémoire des victimes de l’OAS) et fils d’un commissaire assassiné par l’OAS en 1961, Jean-François Gavoury a rappelé que "l’organisation de l’armée secrète (OAS) est apparue en début d’année 1961 et a semé la terreur jusqu’en 1962 afin d’empêcher que soit trouvée la seule issue possible au conflit, celle de l’indépendance de l’Algérie".

Cet homme qui a ardemment milité pour l’édification de cette stèle a souligné que l’OAS fonctionnait "à la manière d’un syndicat du crime. S’y sont retrouvés monarchistes, pétainistes, catholiques intégristes, nostalgiques de l’empire colonial français et autres ennemis de la République". Parmi les personnes présentes à la cérémonie figurait Delphine Renard, grièvement blessée le 7 février 1962 à quelques centaines de mètres de la porte de Saint-Cloud (Paris) dans un attentat qui visait le ministre de la Culture André Malraux. "Je suis fier que Paris soit la première commune, la première institution Française à oser le faire, mais avec le regret que cela n’ait pas été fait plus tôt" a ajouté Bertrand Delanoë.

 

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Bertrand Delanoë a inauguré le jeudi 6 octobre 2011, au cimetière du Père-Lachaise, une stèle en hommage aux victimes de l'OAS, une initiative inédite en France.

Entre 1961 et 1962, de nombreux Français furent victimes, en France métropolitaine comme en Algérie de l’« Organisation de l’Armée Secrète » (O.A.S.), qu’ils soient militaires, fonctionnaires, civils, pour le simple fait qu’ils obéissaient aux lois de la République, respectant les ordres du gouvernement légal et légitime.

L'hommage qui leur a été rendu s’inscrivait dans l’action de mémoire collective, menée depuis 2001 par la Ville de Paris autour de la guerre d’Algérie et des conflits coloniaux en Afrique du Nord, avec, notamment, l’édification au Père-Lachaise d’un mémorial en hommage aux 747 Parisiens morts pour la France en Afrique du Nord, la plaque en souvenir des victimes de la répression du 17 octobre 1961 sur le pont Saint-Michel, ou la plaque à la mémoire des Harkis, de leur famille et des victimes civiles de la guerre d’Algérie dans le jardin de la Butte du Chapeau Rouge, près du boulevard d’Algérie.

Le 8 février 2011 - jour anniversaire de la manifestation du 8 février 1962 à Paris pour dénoncer les agissements de l'OAS et la guerre d'Algérie - le Conseil de Paris avait unanimement voté en faveur de la pose de cette stèle.

La stèle, apposée au Père Lachaise dans une parcelle en bordure de la 88e division, porte le texte le suivant: "1961-1962. En hommage à toutes les victimes de l'OAS en Algérie et en France. Civils, militaires, magistrats, fonctionnaires, élus, défenseurs des institutions et des valeurs de la République".

 

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Stèle de la Ville de Paris aux victimes de l’OAS

 

Cérémonie de dévoilement au cimetière du Père Lachaise

le 6 octobre 2011 à 11 h 30

 

Intervention de Jean-François Gavoury, président de l’Association nationale

pour la protection de la mémoire des victimes de l'OAS (ANPROMEVO)

 

 

  St-le P-re Lachaise aux victimes de l-OAS 6-X-2011 -2-

 

Merci, Mesdames et Messieurs, d’avoir bien voulu répondre, en nombre, à l’invitation de M. Bertrand Delanoë et de Mme Catherine Vieu-Charier. Merci d’avoir fait, parfois depuis loin et malgré la maladie, le déplacement jusqu’en ce haut-lieu du souvenir, pour y témoigner de votre attachement aux principes et valeurs qu’incarnaient celles et ceux que nous honorons aujourd’hui.

 

Le drapeau de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie, à côté de la stèle, exprime, symboliquement, la chaleureuse présence parmi nous de son président national, M. Wladyslas Marek : il nous a quitté le 24 septembre ; hommage soit ici rendu à sa mémoire.

 

 L'Organisation armée secrète est apparue en début d’année 1961 et a semé la terreur jusqu’en 1962 afin d’empêcher que soit trouvée la seule issue possible au conflit, celle de l’indépendance de l’Algérie.

 

  Fonctionnant à la manière d’un syndicat du crime, l’OAS a été un creuset pour l’extrême droite : s’y sont retrouvés monarchistes, pétainistes, catholiques intégristes, nostalgiques de l’Empire colonial français et autres ennemis de la République. La plupart de ses anciens membres ou sympathisants revendiquent aujourd’hui cette filiation et assument la haine tenace qu’ils vouent au général de Gaulle : le général de Gaulle qui, il y a cinquante ans, le 2 octobre 1961, exhortait l'armée française en Algérie à rester dans le devoir et adjurait les Français d'Algérie "d'apporter leur franc concours à la naissance de l'Algérie nouvelle, celle que souhaite la France, c'est-à-dire telle qu'ils y aient leur digne place".

 

  Dès le milieu des années soixante-dix, exploitant les lois d’amnistie sur les infractions en relation avec la guerre d'Algérie, d’anciens détenus de l’OAS se sont employés à célébrer la gloire de ceux d’entre eux qui avaient été condamnés à mort et exécutés à raison du nombre ou de la gravité de leurs forfaits. Afin de les faire passer à la postérité, des monuments ont été érigés à leur gloire dans le Midi de la France : ils y sont décrits comme des martyrs, des héros, des résistants, forme impudente de réhabilitation et de falsification de l’Histoire.

 

  L’accoutumance à la douleur, la peur, mais aussi l’absence de soutien, n’ont que trop longtemps porté les familles de victimes de l’OAS à la résignation, à la subordination au diktat du révisionnisme, mais sûrement pas à l’oubli.

 

     Chaque jour, en effet, nous nous souvenons des morts causés par l’organisation, des morts dont le nombre serait supérieur à 2.700 selon les estimations d’experts appartenant à la Société française d’histoire de la police :

 

-        des victimes tant de crimes ciblés, individuels ou collectifs, que d’attentats aveugles ;

 

-        des victimes en Algérie comme en métropole ;

 

-        des victimes avant comme après le cessez-le-feu ;

 

-        des victimes au sein de l’armée (du général de corps d’armée ou de l’officier – tel le chef d’escadrons Marcel Bourgogne – à l’appelé du contingent), comme au sein des forces de police (du contrôleur général de la sûreté nationale au gardien de CRS) ;

 

-        mais outre ces militaires et policiers, dont c’était la mission et l’honneur de protéger les institutions et d’assurer la sécurité et l’ordre publics :

 

Ø un attaché au consulat britannique à Alger, Alfred Fox,

 

Ø des magistrats, tel Charles Causse, juge d’instruction à Alger,

 

Ø des élus (notamment Camille Blanc, maire d’Évian, et Michel Schembri, maire de Fort-de-l’Eau),

 

Ø des fonctionnaires : de l’administrateur civil ou directeur des PTT aux enseignants, cibles privilégiées, tels les six inspecteurs des centres sociaux éducatifs massacrés dans l’exercice de leurs fonctions et sur leur lieu de travail à Alger (l’écrivain Mouloud Feraoun, l’humaniste Max Marchand ainsi que Marcel Basset, Robert Eymard, Ali Hammoutène et Salah Ould Aoudia),

 

Ø des membres de la société civile (avocats, tel Me Pierre Popie à Alger ; médecins ; chefs d’entreprise et employés, tels David Serfati et Hélène Canavesio à Oran ; …),

 

Ø des responsables ou militants politiques ou syndicaux (tels William Levy, secrétaire général de la SFIO à Alger et Alfred Locussol, militant du Parti communiste algérien, assassiné quant à lui à Alençon).

 

-        comment ne pas évoquer également ces innombrables victimes anonymes des meurtres en série commis par l’OAS en Algérie à travers ses journées des femmes de ménage, des facteurs, des cheminots, des préparateurs en pharmacie, des dockers, … ?

 

-        comment oublier les victimes indirectes de tentatives d’assassinat dirigées contre des personnalités politiques, telle Delphine Renard grièvement blessée le 7 février 1962, à quelques centaines de mètres de la Porte de Saint-Cloud, dans un attentat visant le ministre de la culture André Malraux ? Après cinquante années de silence, Delphine Renard dit ne pas supporter que l’histoire renvoie dos à dos les tueurs de l’OAS et leurs victimes. Elle est parmi nous ce matin, discrète mais solidaire : en votre nom, je lui dis toute mon affectueuse sympathie, ainsi qu’à sa mère qui a bien voulu se joindre à nous.

 

-        et comment ne pas penser, alors, aux neuf victimes causées au Métro Charonne, le 8 février 1962, à l’issue d’une manifestation organisée pour la paix en Algérie et contre les crimes de l’OAS ?

 

Le Maire et le Conseil de Paris tout entier ont permis la réalisation du projet initié par l’ANPROMEVO, résolument soutenu par des mouvements et associations. Merci à leurs représentants d’être ici :

 

  Association républicaine des anciens combattants (ARAC)

 

Comité Vérité et Justice pour Charonne

 

Coup de soleil

 

Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA)

 

Fédération nationale des déportés et internés, résistants et patriotes (FNDIRP)

 

France - Algérie

 

France - el Djazaïr

 

Harkis et Droits de l’Homme

 

Les Amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs Compagnons

 

Ligue des droits de l’Homme

 

Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP)

 

Solidarité France Pays Arabes

 

  Le projet a été élaboré en concertation avec Mme Odette Christienne, puis avec Mme Catherine Vieu-Charier, et en liaison permanente avec le cabinet du Maire de Paris en la personne de M. Philippe Lamy. Présenté au conseil du 20è arrondissement le 27 janvier 2011, puis, le 8 février, en Conseil de Paris, il a dans les deux cas recueilli un assentiment unanime.

 

 La présence de cette stèle dans le voisinage immédiat du monument érigé par la Ville de Paris en mémoire de ses Morts pour la France en AFN et la dédicace dont elle est porteuse sont une incitation à l’apprentissage, par les jeunes générations, de la guerre d’Algérie, à travers la page franco-française du conflit, sans doute la plus douloureuse et la plus sombre.

 

Nous y voyons également un message républicain à valeur d’exemple que Paris adresse aux communes de France dont l’histoire a été marquée par l’OAS. Son dévoilement, aujourd’hui va résonner non seulement là où l’OAS a directement perpétré ses crimes et attentats, mais là aussi où les victimes de cette organisation sont nées ou ont vécu et exercé leur activité au service de leurs concitoyens.

 

 À nos yeux, son inauguration constitue un acte fondateur de la mémoire plurielle de la guerre d’Algérie.

 

  Oui, le 6 octobre 2011 marquera une étape déterminante vers la reconnaissance par la Nation des souffrances endurées par les victimes de l’OAS.

 

  Rien n’aurait été possible sans l’écoute de la ville capitale dont il convient de saluer, avec respect et gratitude, le Maire et son adjointe en charge de la mémoire ainsi que l’ensemble des élus et des services. Sans doute, aussi, cette stèle ne serait-elle pas née sur ce remarquable emplacement du cimetière du Père Lachaise si un éditeur n’avait pas - le premier et le seul - sorti de l’oubli et de l’ombre les victimes de l’OAS en faisant se rencontrer leurs descendants et, surtout, en leur donnant la parole et la plume : merci, par conséquent, aux Éditions Tirésias et à Michel Reynaud, pour qui le livre est mémoire. Merci enfin à l’artiste, au sculpteur, M. Constantin Spourdos, pour qui la matière est mémoire.

 

  Monsieur le Maire de Paris, c’est un vrai moment de lumière que vous nous donnez à connaître en mettant à l’honneur des hommes et des femmes soumis à la barbarie de ce terrorisme dont l’image hideuse doit nous encourager à repousser toute forme de résurgence.

 

Jean-François GAVOURY

 

Déclarations de Jean-Philippe Ould Aoudia, président de l’Association des amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs compagnons 

 

Pour Jean-Philippe Ould Aoudia, le dévoilement de cette stèle est un "évènement tout à fait remarquable et exceptionnel dans la mesure où il a fallu 50 ans pour que la France reconnaisse les crimes commis par des Français". Il a relevé que cet hommage intervient à quelques jours de la commémoration du cinquantenaire des massacres d’octobre 1961 à Paris.

 

Ce qui fait, selon lui, "avancer la vérité". "La vérité se fait lentement, mais elle s’effectue quand même. Il y a eu un ambassadeur de France en Algérie qui a reconnu le côté inexcusable de ce qui s’est passé en 1945 à Sétif et à Guelma. Il y a aujourd’hui des autorités françaises qui reconnaissent que la France s’est mal comportée en France et en Algérie, que ce soit le 17 octobre 1961 à Paris ou bien en Algérie et en France dans le cadre des massacres commis par l’OAS", a relevé le fils d’une des victimes de l’OAS, Salah Ould Aoudia, assassiné, le 15 mars 1961 à Ben Aknoun (Alger), en compagnie de Mouloud Feraoun, Ali Hammoutène, Marcel Basset, Robert Eymard et Max Marchand

 

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Un autre souvenir agréable

Deux souvenirs en rapport à la guerre d'Algérie

 

uxCet article est donc le dernier de l'année 2014  "Au seuil de 2015 je vous présente mes voeux les plus sincères" MISE A JOUR LE 31/12/2014

Cet article est donc le dernier de l'année 2014  "Au seuil de 2015 je vous présente mes voeux les plus sincères" MISE A JOUR LE 31/12/2014

Evian, été 2014 "Dans cette ville, le maire Camille Blanc a été assassiné par l'OAS le 31 mars 1961, j'ai voulu voir tous les lieux historiques en rapport avec ce crime"

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L’Hôtel du Parc aujourd’hui transformé en logements : L'établissement qui faisait jadis partie du prestigieux complexe des bains de Thonon est désormais composé de résidences.
C'est dans cet hôtel que les représentants de la France et du FLN se réunirent en mars 1962 pour mettre fin à la guerre d'Algérie.

 

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L'Hôtel de Ville d'Evian aujourd'hui

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Une plaque en hommage à Camille Blanc à l'intérieur

 de l'Hôtel de Ville d'Evian

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Une plaque sur la façade de l'Hôtel Beau Rivage propriété

 de Camille Blanc en 1961

 

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 Camille Blanc n'eut même pas le temps d'ouvrir les volets

 que vous voyez au-dessus du nom "Beau Rivage"

 car il fut tué par un engin explosif déposé

 par les criminels de l'OAS

 au moment où il s'approchait de la fenêtre 

Cet article est donc le dernier de l'année 2014  "Au seuil de 2015 je vous présente mes voeux les plus sincères" MISE A JOUR LE 31/12/2014

"Excusez-moi car il est très rare que je me présente

 en photos

 sur ce blog mais j'ai voulu garder un souvenir

 de ma visite à Evian... c'est en quelque sorte

mon hommage personnel à Camille Blanc"

Ce sont les dernières heures de 2014  "Au seuil de 2015 je vous présente mes voeux les plus sincères"

 

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S
Bravo à tous pour le rappel de ces souvenirs !
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G
Ce fut un événement exceptionnel : on n'a eu que trop l'occasion de le mesurer depuis lors.<br /> Merci, cher Michel.
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C
Jean-François Gavoury m'a offert un DVD permettant de visionner l'intégralité de l'inauguration de cette stèle aux victimes de l'OAS qu'évoque ici pour nous notre ami Michel.<br /> Ce cadeau m'a été remis le 14 mars 2015 à l'issue du rassemblement que nous avions organisé à Béziers pour protester contre le changement de nom de la  rue cu 19 mars 1962 voulu par le maire de la ville. C'était plus précisément lors de la réunion  que nous avions tenue pour tirer les enseignements de notre initiative du jour au 2 de la rue Voltaire qui est le siège de la section de BézIers du PCF.<br /> A la fin de ladite réunion j'avais amené  Jean François et Jean-Philippe Ould Aoudia à la gare où ils devaient prendre leur train.<br />  
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