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A Chalon-sur-Saône : Ils enterrent la hache de « guerre » une « guerre » qui a duré pourtant plus de 10 ans
A Chalon-sur-Saône : Ils enterrent la hache de « guerre »
Une « guerre » qui a duré pourtant
plus de 10 ans
Rappelez-vous de mon article :
Le courageux et très patient Jean-François Drillien a eu à affronter des adversaires coriaces, d’abord le maire de Chalon-sur-Saône qui l'a obligé de s’excuser après l'accrochage concernant la cérémonie du 19 mars 2022 citée plus haut, puis l’ACFANOMA, un dérivé d’ANFANOMA (mais c’est kif kif bourricot), et j’ajoute un groupe s'appelant les "Anciens du Djebel" qui ne sont que des adhérents de l’UNC, veulent, disent-ils, l'abandon du projet... comme si les adhérents de la FNACA ne sont pas, eux aussi, des anciens du djebel... et enfin et peut-être le pire… Revenons au président de l’ACFANOMA, farouche opposant… C’est le champion local toutes catégories, en effet, la lettre qu’il avait envoyée au maire de Chalon-sur-Saône est parue sur le site d’extrême droite « Riposte Laïque ». Rappelons-nous :
C’est avec surprise que je lis, ce matin, dans la presse locale cet article :
C'est article m'apprend que Jean-François Drillien président du Comité FNACA était présent à la cérémonie organisée, entre autres, par son plus farouche adversaire le dénommé Claude Péran président de l'ACFANOMA avec ce titre : Cérémonie ACFANOMA tout en émotion de la " Toussaint Rouge " en mémoire des événements sanglants qui ont lancé officiellement la Guerre d'Algérie dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954.
Jean-François Drillien l'appelait son plus farouche adversaire, le voici :
Claude Péran associe régulièrement à cette cérémonie les soldats qui sont venus d’Afrique pour aider l’armée française au cours des différentes guerres, les morts en Indochine, les civils tués à Alger et à Oran, les harkis massacrés et les disparus du mur de Perpignan... où nous le savons il y a un grand nombre d'adhérents ou de sympathisants de l'OAS.
Et Jean-François Drillien tout fier de se trouver dans cette cérémonie sollicitée et organisée par un nostalgérique extrémiste. Décidément je vais de surprise en surprise, à Perpignan les Klarsfeld, opposants historiques de l'extrême droite, furent décororés par Louis Aliot (RN). En conclusion : ces deux surprises, l'une nationale, l'autre locale, m'apprend que dorénavant plus rien ne doit me surprendre.
Michel Dandelot
« Je vais donc répondre aux propos menteurs de l'extrémiste Aliot" Algériennes en France : l'héritage " Un documentaire à voir ce soir à 22h45 sur France 2 »
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