• Il y a plusieurs informations concernant ma revue de presse aujourd’hui qui me surprennent. Michel Dandelot

     

     

    Il y a plusieurs informations concernant

    ma revue de presse d'aujourd'hui

    qui me surprennent

    Michel Dandelot

    Il y a plusieurs informations concernant ma  revue de presse aujourd’hui me surprennent.  Michel Dandelot

    La date de la visite du président algérien en France prévue les 2 et 3 mai prochain reste tributaire de plusieurs facteurs, selon le magazine français Jeune Afrique, dont l’évolution de la mobilisation en France contre la réforme du système des retraites, qui a entraîné le report de la visite du roi britannique à Paris, à la demande de la présidence française.

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    L’Ambassadeur d’Algérie s’entretient

     avec la Secrétaire générale du Quai d’Orsay

    L’Ambassadeur Saïd Moussi s’est entretenu le 30 mars 2023, avec Mme Anne-Marie Descôtes, Secrétaire Générale du Quai d’Orsay. La rencontre a été l’occasion de faire le point sur les prochaines échéances bilatérales dans le cadre de l’agenda politique convenu entre les Hautes autorités des deux pays.

    L’Algérie renvoie son ambassadeur à Paris

     et la France nomme un nouvel ambassadeur

    L’ambassadeur d’Algérie en France est rentré à Paris, 50 jours après avoir été convoqué à Alger pour des consultations sur la question de l’opposition algéro-française, Amina Bouraoui, comme l’a rapporté le magazine français Jeune Afrique.

    Le magazine estime que le retour de l’ambassadeur est un autre signe de détente dans les relations entre Paris et l’Algérie, après l’appel téléphonique de la semaine dernière entre les présidents des deux pays, qui ne s’étaient pas parlé auparavant depuis la crise diplomatique déclenchée par l’affaire de la militante politique algéro-française après son expulsion de l’aéroport de Tunis vers la France après avoir saisi les services consulaires français.

    Jeune Afrique ajoute que ce retour de l’ambassadeur d’Algérie à Paris permettrait la reprise ou le rétablissement des contacts à plusieurs niveaux entre les responsables français et algériens, après la quasi-définition provoquée par l’affaire Amina Bouraoui.

    Le magazine rappelle que le gouvernement français attend désormais que son homologue algérien lève la suspension de la délivrance des laissez-passer consulaires, qui permettent d’expulser les Algériens indésirables sur le sol français. Il s’agit d’une mesure prise dans le cadre de l’affaire Amina Bouraoui.

    De son côté, Paris a nommé mercredi dernier un nouvel ambassadeur en Algérie, Stéphane Romatet, en remplacement de l’ancien ambassadeur François Gouyette, dont les fonctions expirent à la fin du mois de juillet prochain.

    Et Jeune Afrique de préciser que les deux parties sont censées reprendre les contacts dans les prochains jours pour préparer la visite d’Etat que le président algérien doit effectuer en France les 2 et 3 mai prochains, même si la date n’a pas été officiellement annoncée par les parties algérienne et française.

    La date de cette visite reste tributaire de plusieurs facteurs, selon le magazine français, dont l’évolution de la mobilisation en France contre la réforme du système des retraites, qui a entraîné le report de la visite du roi britannique à Paris, à la demande de la présidence française.

    Pour recevoir le président algérien début mai, comme prévu, Paris avait programmé un défilé sur les Champs-Elysées, en plus de l’hommage rendu à Abdelkader Al-Jazaery, dans le cadre du travail de réconciliation mémorielle en cours.

     

    Algérie. La presse dans tous

     ses états

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    FANATIC STUDIO / GARY WATERS / S / FST / Science Photo Library via AFP

    Sans risque de se tromper, on peut considérer que le quotidien des journalistes dans les trois pays du Maghreb n’est pas rose, entre la censure qui peut s’abattre à tout moment sur n’importe quel journaliste et les procès à répétition dont le couperet peut tomber sur chacun de nous pour des raisons que la raison ignore. Mais il faut reconnaître sans nul doute que le pompon revient certainement à nos confrères en Algérie où le métier de journaliste est bien loin d’être une sinécure.

    Pas forcément critiques du gouvernement, de nombreux journalistes algériens, sous couvert d’anonymat nous ont confié d’ailleurs leurs craintes d’être le prochain sur la liste. Surtout depuis que les médias ont relayé l’arrestation dans la nuit du 24 décembre dernier d’Ihsane El Kadi, traîné les mains menottées comme un vulgaire criminel avant la mise sous scellés des médias Radio M et ­Maghreb Émergent par les autorités algériennes, il semble que le régime algérien a définitivement décidé de criminaliser un métier qui faisait jusqu’à présent office de soupape de sécurité pour une population excédée par la répression et les pénuries de toute sorte dans un pays riche en pétrodollars.

    Qui veut la peau des journalistes ? Il n’est pas difficile de dater le virage liberticide du régime envers la liberté de la presse en Algérie : il paraît concomitant avec l’arrivée au pouvoir de Abdelmadjid Tebboune et de son mentor le général Said Chengriha. La prise des commandes par le duo a été marquée par la virulence du hirak qui a failli renverser le pouvoir si ce n’était l’arrivée miraculeuse de la pandémie du Covid. Depuis, la presse engagée aux côtés des populations pour des revendications portant sur des revendications portant essentiellement sur l’avènement d’un État de droit va connaître les foudres de l’exécutif.

    Quand le mouvement « Hirak » est né en février 2019, les journalistes de ce quotidien comme bien d’autres vont soutienir les manifestations pacifiques hebdomadaires en  protestation contre la candidature de Bouteflika (transformé en momie par la maladie) à un cinquième mandat présidentiel. La vague de répression va alors cibler les journalistes qui vont être jugés sur des chefs d’accusation tels que : l’atteinte à la sûreté nationale, l’appel à un attroupement non armé ou l’appartenance à un groupe terroriste qui relèvent plutôt du code pénal.

    Résultat, tous les fleurons de la presse algérienne vont disparaître sous les coups de boutoirs des pressions politiques et financières à commencer par le journal francophone Liberté qui a cessé de paraître en Algérie dès avril 2022, alors que le quotidien El Watan est menacé de mettre la clé sous le paillasson sous la pression du pouvoir politique qui lui cherche des motifs pour le faire disparaître. A lui seul, Al Watan représente le front de la liberté de la presse en Algérie à tel point qu’en 2010, le quotidien publia un numéro spécial pour célébrer son 20ème anniversaire avec cette légende : «El Watan est né sous Chadli, il a espéré sous Boudiaf, il a résisté sous Zeroual et a survécu sous Bouteflika». 

    Sous la plume d’un diplomate chevronné en la personne de Xavier Driencourt, ex-ambassadeur de France à Alger, on apprend ainsi que « sont aujourd’hui dans les prisons algériennes non seulement les politiques, fonctionnaires et militaires liés à l’ancien régime – et auxquels l’Armée nationale populaire doit son statut actuel -, mais aussi les journalistes qui ont eu le tort d’écrire des articles hostiles ou réservés sur le régime, et ceux qui, naïvement, ont posté sur les réseaux sociaux un jugement ou une opinion dissidente. Le Covid, dès mars 2020, avait permis à l’armée de commencer le nettoyage politique ; les circonstances internationales, la guerre en Ukraine lui ont permis de mettre définitivement le pays au pas ». 

    Dans sa violente diatribe contre le pouvoir algérien publiée dans les colonnes du Figaro, Xavier Driencourt fait remarquer aussi que « tous les observateurs objectifs constatent que depuis 2020, après peut-être quelques semaines d’espoir, le régime a montré son vrai visage: celui d’un système militaire (formé, on l’oublie, aux méthodes de l’ex-URSS), brutal, tapi dans l’ombre d’un pouvoir civil, sans doute autant affairiste que celui qu’il a chassé, obsédé par le maintien de ses privilèges et de sa rente, indifférent aux difficultés du peuple algérien ». 

    Preuve du durcissement du régime, même la très officielle Algérie Presse Service qui relaie la propagande officielle va être directement attachée à la présidence en 2023 : on n’est jamais mieux défendu que par soi-même ! Ainsi l’agence de presse officielle algérienne, qui a toujours relevé du ministère de la communication vient de passer sous la tutelle directe de la présidence. Ce changement de tutelle pour l’agence de presse officielle algérienne dès 2023, devra juste attendre la publication des amendement des statuts de l’agence et d’une modification de l’organigramme, avec la création de nouvelles directions.

    En analysant de près le paysage médiatique algérien, il semble que les services secrets qui détiennent le véritable pouvoir aient opté pour une nouvelle stratégie vis-à-vis des organes de presse. Selon nos informations, convaincus (à tort bien entendu) que la chute brutale de l’audience des organes de presse permettra de se débarrasser sans bruit de ces poils à gratter indésirables, l’accent a été mis sur l’emprise sur les foules des réseaux sociaux et sur l’univers numérique par la création de nombreux sites et la mise en place par les autorités d’influenceurs qui travaillent en sous-main pour le pouvoir.

    Le chef d’orchestre de cette nouvelle stratégie n’est tout autre que le véritable patron des services secrets, le général M’henna Djebbar, jeté en prison par l’ex chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah en octobre 2019 avant d’être repêché par le nouveau chef des armées. Parmi les premières missions de sa fameuse Direction générale de la lutte contre la subversion (DGLS) créée en novembre 2021, (qui dépend directement de la présidence de la République) la surveillance des journalistes et des ONG.  

    En collaboration avec la Direction de la communication de l’information et de l’orientation du ministère de la Défense, la DGLS qui ne quitte pas des yeux les écrits et images publiés par les médias algériens garde aussi un œil sur la presse étrangère et les blogueurs contestataires.

    Si le procédé est de bonne guerre, vu le demi-milliard d’hommes qui sont sur Facebook, les autres millions sur Twitter, miser sur la communauté connectée algérienne pour faire passer les messages du régime et stopper la grogne populaire paraît plutôt hasardeux. Car désormais, le régime va devoir compter avec des réseaux qui s’autonomisent, agissent puissamment dans la jeunesse, sans la médiation des journaux, certes, grands transmetteurs de jadis mais avec des générations qui voient la réalité « autrement ». Une jeunesse qui n’est pas accro à l’appartenance fondatrice de l’idée de Nation chez les aînés abreuvés d’un récit historique dépassé sur la colonisation, qui sont au pouvoir bien qu’elle subisse elle aussi les contraintes de la vraie vie.

    Aujourd’hui le risque est grand qu’en Algérie, la mort de la presse renforce, à coup sûr la décomposition sociale qui menace ce grand pays gorgé de pétrole et de gaz qui s’enténèbre profondément depuis que ces héritiers de Bouteflika ont décidé d’asphyxier les journalistes dans un scénario de mort lente qui finira par avoir raison des derniers bastions de la presse libre. Comme on peut l’imaginer, l’espoir est difficile quand on étudie la réalité du pouvoir en Algérie. 

    SOURCE :  Algérie. La presse dans tous ses états (lecourrierdelatlas.com) 

     


     

    Monsieur Benjamin Stora il m’a été rapporté que vous lisiez mon blog, je ne sais pas si c’est la réalité, mais si c’est le cas, je voulais vous dire qu’après avoir lu l’article du quotidien lecourrierdelatlas.com ce que vous commentez dans la vidéo ci-dessous, vos propos ont été, hélas, très contredits. La deuxième révolution et libération du peuple algérien a échoué.

    Michel Dandelot 

     

    Benjamin Stora : La Jeunesse algérienne est en train d'écrire le récit historique

    Benjamin Stora : La Jeunesse algérienne

    est en train d'écrire le récit historique

     

     


     

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    Ah ça alors France Inter a osé déformer vos propos M. Benjamin Stora et bien remercions vos amis de ce site de vous sauver la face.

    Pour lire l’intégralité de cet article (très long) dont une partie me surprend car mon alerte n’a pas fonctionné, merci de cliquer sur le lien ci-dessous :

    Le déni des crimes de l'OAS comme de ceux du fondateur du Front national doit être refusé et combattu - Histoire coloniale et postcoloniale

    Michel Dandelot

    Les propos inexacts d’un podcast écartant la participation de Jean-Marie Le Pen à la torture lors de la « bataille d’Alger » doivent faire l’objet de la part de France Inter d’un rectificatif clair.

    Le déni des crimes de l’OAS

    comme de ceux du fondateur

     du Front national

    doit être refusé et combattu

    La France ne pourra assumer son passé colonial que lorsque les crimes commis par des militaires français dans la guerre d’Algérie, comme ceux perpétrés par l’organisation jusqu’au-boutiste de la colonisation qu’a été l’OAS, ne feront plus l’objet de dénis, comme c’est encore trop souvent le cas. On lira ainsi ci-après une tribune sur la tentative de réhabilitation de l’OAS de la part de la municipalité Rassemblement national de Perpignan à travers la figure de Pierre Sergent. Et, à l’inverse, l’hommage justifié rendu le 15 mars 2023 aux six inspecteurs des Centres sociaux assassinés froidement par l’OAS auquel nous nous réjouissons que Benjamin Stora a participé. C’est l’occasion de rappeler que les propos inexacts tenus dans un podcast de France inter concernant la participation de Jean-Marie Le Pen à la torture lors de la « bataille d’Alger » doivent faire l’objet de la part de cette chaîne d’un rectificatif clair.

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    Lors de l’hommage rendu à Paris le 15 mars 2023 devant la plaque à la mémoire des six dirigeants des Centres sociaux éducatifs.

     

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    A Alger, la plaque en hommage

    à Mouloud Feraoun posée par les autorités algériennes

    le 15 mars 2022 a disparu 

     

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    La lettre de l’ambassadeur de France

     aux autorités algériennes

    Lettre de l’ambassadeur de France aux autorités algériennes du 16 mars 2023 sur la disparition de la plaque commémorative à Mouloud Feraoun et ses compagnons (format pdf - 246 ko - 01/04/2023) 

    Alger : Recueillement de l’ambassadeur

    de France en Algérie le 15 mars 2022

    devant la plaque en hommage

    à Mouloud Feraoun

     

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     Hélas cette plaque a disparu à Alger

    « Perpignan : mobilisés contre l'esplanade Pierre Sergent des élus ont rendu hommage à une victime de l'OASLE PSU ET LES ACCORDS D’EVIAN *** LE PSU ET LA LUTTE CONTRE L’OAS *** UNE RELECTURE DE L’ANNÉE 1962 »

  • Commentaires

    1
    Cros Jacques
    Dimanche 2 Avril 2023 à 17:28

    Il y a en Algérie des difficultés sociales qui sont indiscutables. Le hirac en témoigne. La répression que subissent les Algériens, dont les journalistes, illustre la politique qui=e suit le pouvoir là-bas !

    Cela n'est finalement pas différent de ce que nous vivons en France et nous serions mal placés de vouloir donner des leçons aux dirigeants de notre ancienne colonie.

    Et cela ne nous exonère nullement d'une analyse sans concession de ce qu'étaient le colonialisme et la guerre menée pour tenter de le perpétuer. Il est de notre responsabilité d'éclairer de nos témoignages la réalité de ce que nous avons constaté. C'était un peuple assujetti, misérable dans ses moyens d'existence, subissant un racisme qui justifiait leur situation sociale et victimes d'une domination militaire qui était la réponse de la France aux problèmes humains qui se posaient.

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