• Jacques Cros habitant Béziers m’informe du décès de Roland Moreau maître-chien pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie.

    Jacques Cros habitant Béziers m’informe du décès de Roland Moreau maître-chien pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie.

    Jacques Cros habitant Béziers m’informe du décès de Roland Moreau maître-chien  pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie. Jacques Cros était lui-même maître-chien, cela me donne l’occasion de vous rappeler un article qui évoque ce sujet... Mais d'abord la longue histoire qui concerne la guerre d'Algérie de Jacques Cros qui a passé 26 mois là-bas, contre sa volonté et qui ont gâché les plus beaux moments de sa jeunesse. Si Macron a demandé pardon aux harkis, il aurait pu le faire aussi pour les appelés du contingent qu'on envoyait à la guerre alors qu'ils n'avaient pas le droit de voter...

    Michel Dandelot

    Décès de Roland Moreau

    un des maîtres-chiens

    du 1 / 66 RA

    Jacques Cros habitant Béziers m’informe du décès de Roland Moreau maître-chien pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie.

     

    SOURCE : Décès de Roland Moreau, un des maîtres-chiens du 1 / 66 RA 

    Nous étions neuf maîtres-chiens dans ce régiment d’artillerie, dispersés dans ses quatre batteries, fort distantes les unes des autres. Moi j’étais à la 4ème, la plus au sud, cantonnée en deux parties au bord du chott ech Chergui.

    Roland était dans une située plus au nord, je ne sais plus laquelle. Il me semble que son chien s’appelait Emolf. Les équipes cynophiles nous nous retrouvions régulièrement à Saïda lors de regroupements effectués sous la responsabilité d’un vétérinaire. C’est ainsi que je l’ai connu.

    Ni lui ni moi n’avons eu à subir un accrochage au cours duquel nos chiens seraient intervenus. C’est encore heureux mais j’avais été volontaire pour être maître-chien afin d’échapper à la vindicte dont j’étais victime quand l’enquête de la sécurité militaire avait donné un avis défavorable à mon emploi de secrétaire à la base arrière ! Mon opération était risquée mais elle avait réussi.

    En avril 2000 une rencontre des maîtres-chiens du 1 / 66 RA avait été organisée pour le soixantième anniversaire de Roland. Cela se passait à côté de Parthenay. Nous y étions tous sauf Bernard Donjon qui n’avait pas été retrouvé. Je l’avais personnellement revu à Paris en 1972 lors d’une réunion syndicale à laquelle je participais. Depuis je n’ai plus eu de nouvelles de lui.

    Lors de ce soixantième anniversaire j’avais appris que Roland avait eu une activité professionnelle en rapport avec l’affectation de maître-chien qui avait été la sienne pendant la guerre d’Algérie. Il avait en effet réalisé un élevage de chiens de chasse sur, il me semble, la propriété agricole qui appartenait à son épouse. Je crois qu’il avait réussi dans ce domaine.

    J’ai donc appris le décès de Roland par Paul Malaurie qui était brigadier cynophile et à qui j’ai demandé de transmettre mes condoléances à la famille.

    Jacques Cros

    La rencontre des maîtres-chiens du 1/66 RA en avril 2000

    Jacques Cros habitant Béziers m’informe du décès de Roland Moreau maître-chien pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie.

    A gauche c'est un nommé Dumas qui était de Calvi et dont le chien qui ressemblait à un renard s'appelait Zito.

    Je n'ai plus en tête le nom du maître-chien qui tourne le dos. Son chien était un pisteur du nom d'Azno. Il avait eu Fanjo, un chien éclaireur qu'on avait dû abattre car il s'était attaqué à plusieurs reprises à son maître.

    A droite c'est Roger Bertomère, originaire des Landes où il avait une exploitation agricole. Il élevait des vaches "Blondes d'Aquitaine". Son chien était Faro, un pisteur. J'étais passé chez lui pour rejoindre Parthenay.

    Nous faisant face avec une chemise claire ça devait être Roland Moreau et contre la voiture c'est moi.

     Le Gros Jules

    C'était le chien de Jacques Cros

    Jacques Cros habitant Béziers m’informe du décès de Roland Moreau maître-chien pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie.

    Là c’est sur le plateau de Mazagran en novembre 1960. 

    J’avais mis un bracelet-montre à la patte du Gros Jules

    Photo Paul Malaurie

     

    En fait son vrai nom c’était Vern. C’est le chien dont j’étais chargé dans la fonction de maître-chien pour laquelle j’avais été volontaire lorsque j’ai fait mon service militaire.

    Il faut préciser que c’était pendant la guerre d’Algérie. Après mes classes, que j’avais effectuées à Oran, dans le quartier d’Eckmühl, au 1/66ème Régiment d’Artillerie, j’avais d’abord été affecté à la Batterie de Commandement et de Services (la BCS) située un peu au sud de Saïda. Dans un premier temps on m’avait envoyé dans un commando mais le sous-lieutenant qui l’avait en charge ne voulait que des volontaires. Je ne l’étais pas,  j’en étais même très loin !

    Je suis donc resté un ou deux mois dans cette BCS, sans fonction particulière. Puis le capitaine m’a annoncé que j’étais muté dans un bureau à la Base Arrière qui se trouvait plus près de Saïda, dans une localité qui s’appelle Aïn el Hadjar. Je n’y suis resté que cinq semaines, le temps que revienne l’enquête de la Sécurité Militaire. Je n’ai eu droit à aucune explication quand celle-ci est arrivée. J’ai été invité à prendre mon paquetage et mon fusil et à repartir pour la BCS.

    Si on ne m’a jamais donné les raisons de ma disgrâce (sans doute que la Sécurité Militaire craignait que je ne vende le plan des cuisines aux Russes), à la BCS où j’étais donc de retour les gradés eux étaient au courant. Aussi je n’étais guère épargné. Toutes les corvées étaient pour moi et en opération on me chargeait du poste radio, qui je crois faisait 11 kg, ou du fusil mitrailleur ou des sacoches de munitions… A tel point que j’avais fait part de mon inquiétude à mon adjudant. « Mais comment ferez-vous quand j’aurai la quille ? »

    On demandait des volontaires pour être maître-chien. Ben oui, quand il y a la guerre tout le monde participe. Déjà sous Hannibal on avait embauché des éléphants. En 14 – 18 les chevaux et les mulets avaient été fortement sollicités. Il y eut même des pigeons voyageurs dans les transmissions. Bon là c’était des chiens de guerre.

    Tout compte fait j’ai estimé qu’un chien je ne l’aurais pas sur le dos, au sens propre du terme. Je me suis donc porté volontaire pour le stage de maître-chien qui était proposé.

    Dans un premier temps je suis descendu à Saïda où les chiens ont été tirés au sort pour les postulants à l’emploi. C’est ainsi que j’ai hérité de Gros Jules. Il y avait Zito qui avait des allures de renard, Emolf, Faro, Fangio qu’on a fini par abattre car il ne comprenait pas que l’ennemi n’était pas dans les rangs de l’armée française mais en face. Oui à plusieurs reprises il s’était jeté sur son maître. On l’avait remplacé par Azno, un chien pisteur qui, quand on traçait une piste pour l’exercer à la suivre, prenait un air inspiré et partait à peu près systématiquement de l’autre côté.

     On nous a envoyés ensuite à Mostaganem à la caserne de La Remonte avec nos chiens, nos fusils et nos paquetages. Nous y sommes restés tout le mois de novembre 1960. Nous avions comme instructeur un sergent corse pas spécialement mauvais diable.

    Nous allions souvent avec nos chiens sur le plateau de Mazagran qui se trouve au-dessus de Mostaganem. J’ai appris par la suite que Mazagran avait été le théâtre de la résistance héroïque d’une centaine de chasseurs commandés par le capitaine Lelièvre qui a tenu tête avec succès à des milliers d’Arabes des troupes d’Abd El Kader. Les assiégés buvaient du café arrosé d’eau-de-vie. Quand j’étais enfant j’ignorais l’origine de l’expression « Un mazagran » qui était la commande que faisaient plusieurs clients du café le Helder après le repas de midi. Nous allions aussi sur la plage de La Salamandre ou des Sablettes.

    Les chiens étaient entraînés à s’attaquer à un mannequin et à mordre dans une manchette rembourrée que lui présentait l’un d’entre nous, évidemment vêtu d’une djellaba !

    Il y avait un parcours du combattant du chien aménagé. Celui-ci devait ramper, passer dans un cerceau, franchir une palissade haute de deux mètres environ… Au début le gros Jules arrivait à sauter la palissade mais quelques mois plus tard, devenu vieux et un peu handicapé, il n’aurait pu que la traverser aussi il avait renoncé !

    Gros Jules était naturellement privé d’amour mais dans le chenil il avait connu spontanément une érection qui l’avait mis dans une situation embarrassante, il n’arrivait pas à obtenir un… retour au calme ! Je crois qu’il en était gêné !

    A l’issue de notre stage de un mois nous avons été affectés en zone opérationnelle. C’est ainsi qu’accompagné de mon Gros Jules j’ai été cantonné à Bou Ktoub, un bordj situé un peu à l’est du chott El Chergui, à l’endroit où celui-ci est le plus étroit. Il y avait avec moi un autre maître-chien, Bernard Donjon, dont le chien, très beau, s’appelait Bipso. Donjon était vraiment très rigolo et avait un toupet incroyable.

    Je sortais mon chien dans les environs du cantonnement, allant régulièrement dans un bois de tamaris qui avait été planté de l’autre côté de la ligne de chemin de fer Perregaux – Aïn Sefra. Après avoir fait promener ma bête je m’installais à l’ombre et je lisais. Un livre durait à peine deux jours !

    Nous revenions régulièrement à Saïda pour un regroupement des chiens et de leurs maîtres dispersés dans les différentes batteries de notre régiment. Le chenil était à côté de la gare de Saïda et un vétérinaire contrôlait la santé de nos bêtes. L’intendance achetait quelquefois des ânes pour les nourrir mais nous prélevions notre part pour améliorer notre ordinaire.

    J’ai un épisode amusant sur un de ces séjours à Saïda. Je prenais les pattes de mon Gros Jules et je le mimais dirigeant un orchestre qui jouait La Marseillaise. Cela n’avait pas plu à un autre maître-chien qui m’avait menacé de son arme en déclarant qu’il ne voudrait pas qu’on « souille la mémoire de son chien » ! J’imagine qu’il avait un peu bu.

    Le gros Jules, officiellement éclaireur, n’a jamais eu à s’en prendre à un quelconque fellagha, du moins tant qu’il a été sous mes ordres. Une fois il a failli empoigner un adjudant qui l’avait surpris en tournant à un angle de bâtiment.

    Le seul souci que j’ai eu avec lui c’est, au cours d’une opération, l’accrochage qu’il avait eu avec Zito, l’éclaireur de la section voisine. En les séparant j’ai été mordu mais je n’ai jamais su par lequel des deux !

    Une autre fois j’avais dû le frapper avec ma mitraillette car il s’était attaqué au jarret d’un âne lors d’une patrouille nocturne dans le village de Bou Ktoub. Même qu’à cette occasion j’avais perdu un chargeur de cette mitraillette ce qui n’aurait pas manqué de me créer des ennuis si un habitant ne l’avait ramené au bordj le lendemain !

    A la fin de 1961, peut-être au début de 1962 mon unité a changé de secteur et, pour des raisons administratives je pense, mon chien ne m’a pas suivi. Il faut dire qu’à partir de cette période l’armée française faisait penser au poème de Rimbaud « Bateau ivre ». Nous nagions en plein surréalisme.

    J’avoue que nous ne risquions pas de gagner la guerre tant je manquais d’enthousiasme, mais enfin j’ai contribué à faire flotter le drapeau français aux confins du Sahara ! 

     Jacques Cros

     

    Portrait de Diesel, chien d’assaut 

    du RAID, mort en opération 

     

    « ils ne sont pas responsables

      de la folie des hommes »

    Vous avez été près de 150 000 à consulter l’hommage à Diesel, chien d’assaut du RAID, réalisé par 30millionsdamis.fr. Diesel a été tué par des terroristes lors de l’assaut mené à Saint-Denis le 18 novembre 2015, ce qui fait de lui le 1er chien du RAID à mourir en intervention. Son sacrifice a ému de nombreuses personnes qui se mobilisent d’ailleurs pour lui obtenir une médaille d’honneur. En remerciement, les services du RAID viennent de diffuser une photo de Diesel.

     

     

    Dans un reportage qui a été diffusé le mercredi 9 décembre 2015, l’émission 30 Millions d’Amis était revenue sur ces chiens d’exception qui sont au service de la nation. Elle a dévoilé aussi les images du chiot berger allemand qui a été offert à la France par les autorités russes. Ce chiot donné « en signe de solidarité avec le peuple et la police française », « porte le prénom d'un chevalier médiéval russe, Dobrynya Nikitch, héros du folklore réputé pour sa force, sa bonté et son courage ».

    Agé de 2 mois, il a passé des visites médicales et a ensuite été placé en quarantaine avant de pouvoir rejoindre définitivement les équipes du RAID. Actuellement, on dénombre 12 chiens au sein du RAID dont neuf sont des chiens de recherche d’explosifs et trois sont consacrés à l’assaut. Deux chiens sont en encore en formation.

    Nous avons souhaité bienvenue à Dobrynya et nous espérons qu’à l’avenir tous les chiens utilisés dans des opérations d’assaut puissent être remplacés par des robots.

    Voici Diesel, le berger malinois de 7 ans, tué au cours de l'assaut

     à St-Denis. © Police Nationale

    Extrait de l'émission 30 Millions d'Amis du 9/12/2015 diffusée sur France 3.

    Pendant la guerre d'indépendance de l'Algérie

    nous avons connu Gamin

    Que deviennent les chiens ?

    Aux dernières nouvelles, il n’était pas question de repousser l’âge de la retraite qu’ils prennent avant de fêter leurs dix ans. « 99 % d’entre eux restent avec leur maître, assure le colonel Dalier. Pour les réformés, il existe une liste d’attente de gens qui souhaitent les récupérer. » Quelques années plus tard, ils retournent souvent là où tout a commencé, pour toujours cette fois.

    SOUVENIR ET HOMMAGE A DIESEL CHIEN DU RAID MORT EN SERVICE LE 18 NOVEMBRE 2015

    La stèle de Gamin. - N. Stival / 20 Minutes

    Un jardin du souvenir abrite les dépouilles de nombreux chiens, dans une fosse commune, ou sous une plaque individuelle avec nom et matricule pour les médaillés. Tous reposent à quelques mètres de la stèle et des cendres de Gamin, légende de la Gendarmerie. Ce berger allemand, grièvement blessé pendant la guerre d'indépendance de l'Algérie, a veillé jalousement la dépouille de son maître, Gilbert Godefroid, tué lors de l’opération. Diminué, il mourra deux ans plus tard, en 1960.

    Hommage à Gamin, un modèle

    de courage et de fidélité

     Il s'appelait Gamin. Ce berger allemand est l'idole de tous les chiens de la gendarmerie, voici son histoire.

    Gamin, Berger Allemand arrivé au chenil militaire de Beni-Messous en Algérie, se montre si dangereux que personne ne peut l'approcher. Une dernière tentative est effectuée par le gendarme Gilbert Godefroid, un gendarme courageux et volontaire, qui le fait réellement changer. 

    Gilbert Godefroid et Gamin

    Le 29 Mars 1958, une opération de maintien de l'ordre à lieu au sud de Barral. Gilbert Godefroid part sur la piste de combattants pour l'indépendance, avec son chien Gamin. Les légionnaires qui accompagnent l'équipe cynophile ne peuvent suivre le rythme imposé par le gendarme et son chien. Ce dernier ne pouvant arrêter Gamin dans sa recherche, part seul en avant.
    La piste fraîche est rapidement trouvée et, au moment où Godefroid lâche son chien, une rafale d'arme automatique blesse mortellement le gendarme. Son chien bien que grièvement blessé (une balle dans la tête et une dans le poitrail) s'élance et égorge son agresseur, puis se traîne jusqu'au corps de son maître, lui lèche le visage et s'allonge sur celui dont il ne veut se séparer.
    Les légionnaires alertés par les coups de feux, arrivent trop tard. Ils s'approchent, mais Gamin ne les connaît pas. Malgré ses blessures, il se jette sur eux, le poil hérissé, les crocs en avant. Il grogne et refuse les friandises offertes par les soldats. Il faudra alors 6 hommes et une toile de tente pour le maîtriser et récupérer le corps du gendarme.
    Après évacuation par hélicoptère, sur l'hôpital vétérinaire de Millesimo, une opération est immédiatement tentée et réussie. Gamin est sauvé et prends sa retraite à Gramat, où, précise la note du ministère, il devra "faire l'objet de soins attentifs jusqu'à sa mort".
    Le 27 décembre 1958 au chenil de Beni-Messous, un carré d'honneur est formé aux ordres du lieutenant-colonel Arcouet, Gamin est alors le premier chien a être décoré de la médaille de la Gendarmerie Nationale.

    Gamin médaillé de la gendarmerie nationale

    Lorsqu'il meurt des séquelles de ses blessures le 23 Novembre 1960, ses cendres rassemblées dans une urne sont déposées au coeur d'une stèle élevée au Centre National d'Instruction Cynophile de Gramat, réunissant dans le même souvenir, un homme et un chien, pas forcément plus illustre, mais tous deux victimes du devoir. 

    C'est devant cette stèle qu'a lieu, lors de chaque stage, la cérémonie traditionnelle de la constitution des équipes cynophile. Personne ne veut et ne peut oublier.

    Ce jeudi, l’un de ses lointains successeurs sera mis en terre en présence de son maître, lors d’une cérémonie très codifiée, au cours de laquelle le courage et la fidélité de Gamin seront une nouvelle fois rappelés. Son carré est prêt à l’accueillir depuis plusieurs jours.

    SOUVENIR ET HOMMAGE A DIESEL CHIEN DU RAID MORT EN SERVICE LE 18 NOVEMBRE 2015

    Le jardin du souvenir va accueillir un nouveau chien. - N. Stival / 20 Minutes

     

     

     

     

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  • Commentaires

    2
    Mercredi 16 Août 2023 à 20:56

    J'avais vu à la télévision un documentaire sur ces chiens venus dans les Vosges pour approvisionner les combattants  français.

    Je n'ai rien vécu d'équivalent avec Vern. J'ai fait peu d'opérations avec lui et n'ai jamais eu d'accrochage.

     

    En fait je m'étais porté volontaire pour échapper aux ennuis que j'avais, je n'avais pas mesuré les risques que je prenais mais ça a été une bonne opération. J'ai eu la paix avec mon chien, autant qu'on pouvait l'avoir dans le contexte de ce que nous vivions.

    1
    Jean-Philippe OULD A
    Mercredi 16 Août 2023 à 18:37

    436 chiens de traineau ont franchi l'Atlantique pour débarquer au Havre le 5 décembre 1915 afin de porter assistance aux soldats français engagés sur le front des Vosges. Ces "chiens de guerre" ont fait ce que ni les chevaux, ni les mules ni les hommes ne réussissaient à faire. La moitié de ces chiens d'Alaska sont morts au combat, les autres furent décorés de la Croix de guerre pour leur comportement au feu

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